C'est le nom du feuilleton du basket-ball national, avec comme acteurs : le président de la FRMBB, le Comité Directeur et les clubs demandeurs de la tenue de l'Assemblée Générale Extraordinaire ou, au moins, Ordinaire. Un feuilleton qui tire à la longue, du moment que l'acteur principal ne fit pas aux textes du scénariste. Oui, les composantes du basket-ball national en particulier et sportives en général sont entrain d'assister un feuilleton qui s'amplifie de scènes invraisemblables, et de renversements de situations. Mais, et à l'heure que le basket-ball national connaît au niveau de la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball un dysfonctionnement aussi bien niveau de la composition de son Comité Directeur, qu'au niveau des textes qui la régissent, pas un mot, ni une réaction de la part du ministère de tutelle et son directeur des sports sur un sujet d'actualité et de plus en plus brûlant, et qui risque de prendre de l'ampleur, après le 30 octobre 2015. Date annoncée par le président de la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball, pour le début de l'édition 2015-2016. Une reprise que refuse onze clubs de la 1 DNM. Monsieur le ministre de la Jeunesse et des Sports, ce n'est pas une attaque, mais votre silence est inquiétant, parmi les prérogatives de votre directeur des sports : veiller au bon fonctionnement du sport national, en clair le respect des textes garant de l'intégrité du sport national et des fédérations. Aujourd'hui, tout le monde en parle, depuis deux saisons, la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball n'a pas tenu son assemblée générale ordinaire, ni de répondre aux sollicitations des clubs, ni à ceux de la FIBA. Monsieur le Directeur des sports, au lieu de prendre le devant sur ce qui se passe actuellement au sein du basket-ball national, par votre silence, vous ne faites que valider une situation qui tire la balle orange vers la confusion la plus totale, ne pas réagir est un manquement à vos fonctions. Ou va-t-on laisser la FIBA intervenir pour mettre de l'ordre dans la maison du basket-ball national ? En attendant la réaction du ministère de tutelle, ou celle de la FIBA, la situation du basket-ball national ne fait que se dégrader.