Seize décollages et atterrissages. Une soixantaine d'heures de vol avec deux escales transit. Presque un vol par jour en Chine. La visite d'étude d'une délégation de presse marocaine en Chine n'était pas une sinécure. En une semaine, pas moins de quatre villes sillonnées dans trois provinces. Sept établissements médiatiques visité, à Shanghai, Lanzhou dans la province de Gansu, et Pékin. Un programme à la chaine et au rythme de travail à la chinoise. C'est que ces gens là, travaillent beaucoup, voire un peu trop... pour notre goût. Pour preuve la métamorphose qu'a connue, et continue de connaître, la Chine. Une métamorphose qui touche tous les aspects de la société chinoise. Des villes qui s'agrandissent et d'autres qui poussent comme des champignons. Un espace médiatique qui s'agrandit de plus en plus et des industries qui savent plus s'arrêter Elle est loin l'image des grandes villes chinoises sillonnées par des centaines de milliers de bicyclettes. De nos jours les concerts de klaxons ont étouffé à jamais les crécelles des vélos, devenus rares. Les villes ont poussé à la verticale au point de dépasser les hauteurs des cheminées des unités industrielles. D'autres villes « pour le bonheur et le bien-être des Chinois » sont entrain de sortir de terre. Tout ça avec un tribut à payer. La pollution qui étouffe les villes et les populations à tel point que bon nombre de Chinois vivent en permanence avec un masque sur le nez. A Lanzhou, ville où l'on passé le plus de temps, des camions arroseurs traversent à longueur de 24 heures les artères de la ville aspergeant l'asphalte pour empêcher, autant que faire se peut, les poussières polluantes de flotter dans l'atmosphère. Mais nous a-t-on assuré, les autorités du pays travaillent d'arrache pied pour régler le problème. A Lanzhou, ville où l'on passé le plus de temps, des camions arroseurs à longueur de 24 heures les artères de la ville aspergeant l'asphalte pour empêcher, autant que faire se peut, les poussières polluantes de flotter dans l'atmosphère. Mais nous a-t-on assuré, les autorités du pays travaillent d'arrache pied pour régler le problème.Seize décollages et atterrissages. Une soixantaine d'heures de vol avec deux escales transit. Presque un vol par jour en Chine. La visite d'étude d'une délégation de presse marocaine en Chine n'était pas une sinécure. En une semaine, pas moins de quatre villes sillonnées dans trois provinces. Sept établissements médiatiques visité, à Shanghai, Lanzhou dans la province de Gansu, et Pékin. Un programme à la chaine et au rythme de travail à la chinoise. C'est que ces gens là, travaillent beaucoup, voire un peu trop... pour notre goût. Pour preuve la métamorphose qu'a connue, et continue de connaître, la Chine. Une métamorphose qui touche tous les aspects de la société chinoise. Des villes qui s'agrandissent et d'autres qui poussent comme des champignons. Un espace médiatique qui s'agrandit de plus en plus et des industries qui savent plus s'arrêter Elle est loin l'image des grandes villes chinoises sillonnées par des centaines de milliers de bicyclettes. De nos jours les concerts de klaxons ont étouffé à jamais les crécelles des vélos, devenus rares. Les villes ont poussé à la verticale au point de dépasser les hauteurs des cheminées des unités industrielles. D'autres villes « pour le bonheur et le bien-être des Chinois » sont entrain de sortir de terre. Tout ça avec un tribut à payer. La pollution qui étouffe les villes et les populations à tel point que bon nombre de Chinois vivent en permanence avec un masque sur le nez. A Lanzhou, ville où l'on passé le plus de temps, des camions arroseurs traversent à longueur de 24 heures les artères de la ville aspergeant l'asphalte pour empêcher, autant que faire se peut, les poussières polluantes de flotter dans l'atmosphère. Mais nous a-t-on assuré, les autorités du pays travaillent d'arrache pied pour régler le problème. A Lanzhou, ville où l'on passé le plus de temps, des camions arroseurs à longueur de 24 heures les artères de la ville aspergeant l'asphalte pour empêcher, autant que faire se peut, les poussières polluantes de flotter dans l'atmosphère. Mais nous a-t-on assuré, les autorités du pays travaillent d'arrache pied pour régler le problème.