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Le chaton apprivoisé
Publié dans L'opinion le 14 - 02 - 2014

ne maison traditionnelle, dans un vieux quartier de la médina. Une ruelle sombre et très étroite, sinueuse et labyrinthique, les murs n'avaient plus de couleurs, l'humidité est tellement présente que des gouttelettes d'eau, ruissellent le long de ces murs comme des larmes qui suivent les ondulations du visage. Au fond de la ruelle, au-dessous du lampadaire à l'huile que le gardien du quartier allume jour et nuit. Dans cette ruelle, on ne distingue ni jour ni nuit, aucune lumière ne pénètre sauf une lueur venant des portes qui s'ouvrent et qui laissent entrevoir le pavé boueux et mouillé avec quelques sacs de poubelles éventrés par des chats, affamés. On dirait qu'aucun résident de ces maisons mystérieuses ne se rende compte de tout ce qui est éparpillé sur ce sol mouillé alors qu'ils sont si pointus, eux, sur la propreté de leur intérieur.
La maison du fond occupée par une vieille femme veuve et sans enfant Seule femme ayant la connaissance du verbe et maîtrisant la culture et la tradition, toutes les femmes du quartier font appel à ses services et écoutent religieusement ses conseils et ses avis, les hommes eux-mêmes recommandent à leur épouse d'aller souvent prendre conseil chez cette bonne femme. La maison du fond s'appelle la maison de l'illuminée. Cette maison est mystérieuse par son occupante et surtout par le savoir de celle-ci, toutes les femmes et les jeunes filles du quartier sont fières et privilégiées d'avoir dans leur voisinage une femme aussi brillante et aussi savante. Cette femme est devenue la confidente de l'ensemble des femmes du quartier, qui accourent chez elle au moindre problème de quelque nature que ce soit. La maison de l'illuminée est devenue un refuge pour les jeunes filles des maisons voisines, qui n'hésitent pas à passer des heures chez-elle sans aucune inquiétude des pères.
Ces jeunes filles viennent pour apprendre les rudiments de l'enseignement religieux en dehors des regards d'hommes étrangers. Les jeunes filles se regroupent autour de cette maîtresse illuminée, dans le coin opposé à la porte d'entrée. Elles se retrouvent toutes du côté de la cuisine, lieu privilégié des jeunes filles qui trouvent dans cet endroit tout ce qui apaise leur gourmandise. Un jour, alors que toutes les jeunes se préparaient à déguster un bon repas, un chaton surgit de nulle part pour partager avec les filles leur repas. Toutes les filles le repoussèrent avec dégoût, sauf une qui accepta de partager son repas avec ce petit chaton perdu dans les coins de cette belle grande maison.
Chaque jour, à la même heure, le petit chaton apparaît et se dirige vers la même jeune fille, lui lançant des miaulements d'amitié et de reconnaissance comme pour lui annoncer sa présence. Elle caresse, avec ses mains douces, les poils de tout son corps, son miaulement accélère comme pour la remercier de tous ses bienfaits, une relation spéciale s'est développée entre ce petit chaton et la fille du cordonnier. Jour après jour, le chaton et la fille du cordonnier se lient d'une relation très bizarre, les autres filles jalouses de ce rapprochement entre cet animal et la jeune fille n'hésitent pas à le maltraiter, le gronder et des fois même le frapper pour l'éloigner d'elle. Très malheureuse de ce que subit son chaton ami, la fille du cordonnier se rapproche davantage de lui et l'adopte comme un ami fidèle. Les autres filles jalouses et méchantes se moquent d'elle et la surnomme la fille du chat.
Chaque soir, le chat veut suivre la fille du cordonnier pour l'accompagner chez elle. Mais elle refuse de le laisser sortir dehors, d'abord de peur de le perdre mais surtout que chez elle il n'y a pas assez d'espace car son logement consiste en une seule chambre que partagent ses parents avec six autres filles toutes plus âgées qu'elle. Un chat, en plus, serait très malvenu, le cordonnier a sept filles, et de cela il est très malheureux, car à chaque naissance, il prit Dieu de lui donner un héritier à qui il laisserait sa boutique pour s'occuper de la famille. La veille de la septième naissance, il fit un drôle rêve. Ce rêve le perturba durant des années car dans ce rêve un vieux sage l'informe qu'il aura encore une fille sauf qu'avec cette septième fille sa vie va complètement changer. Elle sera la clé de leur richesse et la source de leur bonheur. Depuis cet instant, le cordonnier considère la septième fille comme celle de son bonheur et la traita avec beaucoup d'égard et d'amour, il a toujours espoir que le rêve se réalise un jour, pour cela, il lui a permis d'aller chez l'illuminée apprendre les secrets de la connaissance et la richesse du Livre Sacré.
La journée du jeudi est celle où les artisans et les salariés reçoivent leurs paies et l'après-midi de jeudi, les filles apportent à l'illuminée le droit du savoir qui consiste en de petites pièces d'argent ou des gâteaux faits maison ou des tissus en cadeau de la part des parents aisés. La fille du cordonnier, n'ayant rien à donner, propose à l'illuminée de l'aider à faire le ménage de la maison une fois par semaine, le vendredi, journée de repos pour les autres filles. La fille du cordonnier vient chaque vendredi non pas comme élève, mais comme servante. En faisant ces mini-travaux ménagers, la fille du cordonnier qui, à l'occasion, vient d'avoir un nouveau nom de la part de l'illuminée. En effet, afin d'éviter aux autres filles de savoir qu'elle travaille chez leur maîtresse, l'illuminée lui proposa de la nommer Yasmina, nom d'une chatte qu'elle avait eue il y a longtemps alors qu'elle était elle-même gamine. Si jeune, si belle et si travailleuse, Yasmina surprend l'illuminée, car toute seule elle arrive à rendre cette grande maison si propre qu'avant. Il fallait deux grandes femmes et deux journées entières pour accomplir cette tâche. Le vendredi soir, en rentrant chez elle épuisée par une journée de travail, elle n'a envie ni de manger ni de boire, seulement dormir pour planer dans les rêves fantastiques qui la transportent dans un monde où elle se voit riche et très instruite avec beaucoup de domestiques autour d'elle qui lui font tous les travaux ; le rêve était si beau et si vrai qu'elle commence à rêver avant de s'en dormir et continue le rêve même après le réveil.
Mais dans tous ses rêves, le chaton était présent à la seule différence que cette fois-ci le message qu'il voulait lui transmettre est simple.
Devenir son ami pour toujours. Comment ne pas accepter une amitié si simple de la part d'un animal si doux et si sensible. Combien on a besoin de cet animal à l'intérieur de nos patios et de nos cuisines. Il protége la maison des esprits maléfiques qui hantent les coins sombres de ces demeures. Il chasse les petits rongeurs qui infestent ces endroits.
La relation ainsi née entre Yasmina et le chaton n'inquiéta ni sa maîtresse ni ses parents. Encouragée par ce consentement, Yasmina ne quitte plus son chaton. Dès son arrivée, le matin, elle le trouve assis à sa place comme pour la lui garder. Il passe toutes la journée à côté d'elle silencieux et tranquille... Un jour, alors qu'une maison des voisins fêtait avec tapage le mariage de leur fille, toute les filles demandèrent à l'illuminée l'autorisation de monter à la terrasse pour contempler d'en haut la cérémonie. C'était une journée de loisirs et d'amusement... Yasmina, en taquinant son petit chat, lui dit souriante : n'oublie pas de m'inviter à ton mariage, toi. Ainsi, on sera nous aussi parmi les invités et non pas comme maintenant être obligé d'escalader les murs pour regarder seulement les autres, déguster les gâteaux et les boissons, de toute manière, moi je ne peux pas t'inviter car tu y seras.
Le lendemain, le chaton n'était pas au rendez-vous comme à l'accoutumée... Yasmina attendit toute la journée l'arrivée de son ami mais sans espoir. Personne ne comprit pourquoi le chaton a disparu et a donné tant de chagrin à cette jeune fille si douce avec lui.
Aujourd'hui, Yasmina fête ses quinze ans et c'est l'âge idéal pour une jeune fille de bonne famille de se préparer à se marier... Elle est devenue une très belle fille avec un corps splendide et un visage rayonnant. Elle a excellé dans l'apprentissage du savoir de sa maîtresse... Toutes les femmes du quartier espèrent la demander pour leur fils. Les prétendants sont nombreux sauf qu'aucun n'a osé ouvrir le sujet ni directement avec la fille ni contacter ses parents... D'ailleurs, l'intelligence de Yasmina dépasse sa beauté et sa maîtresse a demandé à son père de l'accompagner chaque matin et chaque soir durant le trajet qui sépare sa maison de celle de sa maîtresse... pour lui éviter les désagréments des jeunes qui l'attendent devant la porte de la maison pour contempler sa beauté et lui poser des devinettes pour examiner son intelligence.
Yasmine et le chaton
Le lendemain matin, l'illuminée souffrait d'une fièvre et d'un vertige. Elle fait appel à la famille de Yasmine pour s'occuper d'elle et lui conseiller une guérisseuse pour soulager son mal. L'illuminée informe la famille de Yasmine de tout se qui s'est passé la veille- l'intrusion de ce chat dans sa chambre et la peur qu'elle a ressenti avec sa présence. La mère de Yasmine a voulu mettre un lien entre la présence d'un chat et la maladie de l'illuminée. Alors sa curiosité la pousse à demander à sa fille de vérifier avec l'illuminée s'il ne s'agit pas du même chat. Yasmine trouve dans cette coïncidence un soulagement à son propre dilemme.
Toutes les femmes du quartier trouvent un sujet de discussion. Le chat de Yasmine est bien le chat de l'illuminée.
Cette dernière, ne voulant rester l'objet de discussion chez les femmes du quartier décide de faire le nécessaire pour dévoiler le secret de ce chat. Elle écrit sur les quatre murs de la maison les versets du Coran pour éloigner les mauvais esprits. Pendant qu'elle était occupée à faire ces talismans un jeune homme chic et souriant se mit à genou devant elle, en la suppliant d'arrêter ce qu'elle faisait, car lui ne lui voulait aucun mal.
L'illuminée comprit vite le lien du chat avec ce jeune homme. Elle lui promet d'arrêter s'il lui dévoile son secret. Soulagée par cette découverte, la vérité sur la maladie de Yasmine, sur la famille qui a demandé la main de Yasmine. Tout s'éclaircit dans son esprit.
Il s'agit bien d'habitant du monde souterrain. Ce monde que tout le monde craint sans jamais le connaître. Mais elle se rappelle que ce monde est contrôlable par le Coran. Il y a des versets qui neutralisent toutes actions maléfiques. Alors l'illuminée continue la récitation de ces versets qu'elle connaît par cœur. Plus elle récite, plus le jeune homme se fait petit et se transforme en chaton. Sachant qu'elle a réussit son tour de force, elle l'oblige à lui promettre de laisser en paix Yasmine et sa famille et de ne plus les embêter. A ce moment le petit chaton supplie l'illuminée d'intervenir en sa faveur pour épouser selon la loi coranique Yasmine - étant donné que lui et sa famille sont des croyants. L'illuminée trouve que cela arrange Yasmine pourquoi pas. ??
Un mariage grandiose fut célébré dans toute la ville. Les gens admiraient l'époux, jeune beau et chic. Aucun ne savait le secret. Yasmine et son époux quittèrent la ville et personne ne le a Jamais revu.
Le cordonnier, son père, ne travaillait plus, mais chaque matin, il Ouvre sa boutique. Récupère une bourse remplie de pièces d'or et referme sa boutique. ll acheta une grande maison, devient parmi les notables de la ville L'Oued Fass, qui traverse l'ancienne médina est devenu un lieu privilégié de recherche de trésor - une nouvelle occupation en relation avec l'Oued a vu le jour. Les fellassas-chercheur de pièces d'argent. Selon la rumeur ces fellassas sont tous devenus très riches car chaque matin ils retirèrent une pièce d'or de l'Oued.
La dame aux chats
Dans le périmètre de la Zaouia Moulay ldriss. Un commerce spécial s'est développé autour du mausolée. Les parfums le bois de sental, les bougies décorées à la main pour les offrandes au Saint. Seules quelques maisons sont occupées dans les ruelles adjacentes. Chaque jour à la même heure, le matin avant la prière de midi et l'après midi avant la prière du coucher. Une dame d'un certain âge - un visage avec une peau basanée de yeux scintillants et clair - les traits d'une beauté profonde effacer par le temps. Une bouche colorée par un rouge sauvage. En fixant ses yeux, on a l'impression de regarder une grande dame d'un milieu aisé. Ses yeux scintillent d'un reflet animal comme le reflet des yeux d'un chat la nuit.
Cette dame, qui porte un foulard rouge vif qui cache partiellement une chevelure noire grisate, son corps est couvert d'une robe verte et chausse des sandales de plastique. Elle porte à chaque doigt de ses deux mains une bague d'argent.
Un grand collier d'argent et de pierre jaunes et rouges. Les commerçants de cette enceinte sont habitués à la pir passer chaque jour. Elle est devenue familière à leurs yeux, mais elle n'adresse la parole à personne - ne répond pas à leur question ni à leurs salut. Personne ne connaît son secret, ni son nom. On l'appelle vulgairement « ASSALA » - Elle riposte et insulte tous ceux qui l'appelle par ce sobriquet.
Cette dame porte dans ces bras un chat. Mais une demi-douzaine d'autres la suivent fidèlement.
Chaque commerçant raconte une histoire concernant cette dame. La rumeur mélangée à l'imaginaire crée autour de cette dame les plus drôles et les plus insolites. Mais personne ne connaît la vérité.
Cette dame refuse l'aumône des passants. Voyant sa condition modeste, ils essayent de lui donner des pièces - qu'elle refuse. Personne ne comprend comment une femme âgée - pauvre avec des chats à nourrir refuse l'argent. Comment elle vit et assure les besoins de ses compagnons à quatre pattes.
Ce qui est frappant c'est que cette dame ne s'éloigne jamais de l'enceinte du mausolée. Personne ne l'a jamais vu en dehors de cette enceinte. Elle traverse l'enceinte toujours dans le même sens. Sud-Nord- puis elle pénètre dans les ruelles sombres et disparaît - Puis recommence la traversée de cette artère. Personne ne sait où elle se trouve entre le premier passage du matin et le deuxième passage de l'après-midi. Comme il n'y a que peu de maisons dans ces quelques ruelles, on est certain que la dame ne peut rentrer à aucune de ces maisons. Sauf qu'il y a des points d'eau dans ces ruelles. Une source d'eau des toilettes publiques avec un grand bassin d'eau et quelques puits à l'intérieur des maisons, il y a aussi un abattoir du mausolée où les pèlerins sacrifient leur offrandes. La dame aux chats ne s'approche jamais de la ruelle de l'abattoir. Pourquoi ? On l'ignore. Cette dame n'est elle pas la fameuse Yasmina, fille du cordonnier, celle qui a apprivoisé un chaton dans la maison de l'illuminé ???


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