Boualam Sansal serait un bâtard selon Tebboun. Au pied du mur après l'annonce de la reprise du Hirak, le président algérien est obligé de libérer l'écrivain franco-algérien Boualam Sansal, emprisonné de manière abusive. Mais avec quand même une petite fanfaronnade pour le petit peuple. L'insulte et le dénigrement de l'écrivain qu'il qualifie de bâtard. Et c'était lors d'un discours au Parlement. Sansal ne mérite pas ce traitement de la part de celui qui se considère comme le fils des chouhadas alors que les Algériens affirment que ses ascendants n'ont jamais tiré une balle contre les Français.