Dans ses confessions de ce dimanche, Abu Wael Al-Rifi revient sur l'interpellation de Maati Mounjib et dément des fake news ayant circulé à ce sujet. Il parle aussi d'un certain Mohamed Touhfa et dévoile ce que cache le pied de Tebboune. Il n'y avait pas huit agents pour interpeller Maati Mounjib, mais seulement quatre, précise l'auteur des confessions dominicales. Il décrit cette interpellation comme étant des plus ordinaires. Il rappelle que Maati Mounjib est un citoyen comme les autres et qu'il a été convoqué par la justice, comme l'aurait été tout autre marocain dans la même situation. « Sauf que lui n'a pas jugé bon de répondre à la convocation qui lui a été transmise verbalement puisqu'il a refusé de la recevoir par écrit et il s'en est suivi son interpellation par des agents en civil, comme il y en a dans tous les pays du monde », détaille Abu Wael. Le chroniqueur s'arrête sur les faits, graves, qui sont reprochés par la justice à Maati Mounjib et à sa soeur. « L'accusé se mure dans le silence pour envelopper son affaire de mystère et faire croire qu'il est injustement poursuivi, or il s'agit de blanchiment d'argent… », précise Abu Wael Al-Rifi. Ce dernier parle aussi du cas d'un certains Mohamed Touhfa qui croit pouvoir insulter et diffamer impunément le Maroc, juste parce qu'il déblatère depuis les Etats-Unis. Le chroniqueur prédit que ce prétendu YouTuber finira par répondre de ses actes devant la justice marocaine au vu des nombreuses plaintes dont il fait l'objet. L'auteur des confessions dominicales termine sa chronique de ce dimanche par Tebboune et son pied. Il révèle que le long zoom accordé par la télévision à ce pied présidentiel plâtré cache mal le mauvais état de santé du Président revenant. Un retour, note le chroniqueur, qui a montré que les galonnés continuent à décider de tout en Algérie. Il en donne pour preuve l'accélération, ces jours-ci, de la liquidation des affaires en justice laissée par Gaid Salah. Chronique à lire dans son intégralité ICI