Maquette du projet inachevé du Centre culturel du Maroc à Paris Dans ses dernières confessions dominicales, Abu Wael al-Rifi évoque différentes affaires de brûlantes activités. Le chroniqueur précise qu'il continuera à mener sa guerre contre ceux qu'il met à nu. Ce faisant, il pointe du doigt un mystérieux porteur d'une double casquette que l'ambassadeur du Maroc à Paris, Chakib Benmoussa continuer à choyer…
Abu Wael al-Rifi présente à son public A. S. Un franco-marocain qui milite contre le «Makhzen» en étant aussi le conseiller culturel en charge du Centre culturel marocain à Paris. Il perçoit donc son salaire du budget de l'ambassade du Maroc en France que dirige Chakib Benmoussa. Ce conseiller culturel avait travaillé aux côtés du fils d'un grand leader ittihadi pour la mise en place de Centre dont les travaux sont aujourd'hui à l'arrêt. L'auteur des confessions dominicales s'interroge sur ce paradoxe de voir ce «militant» empocher en euros son salaire de l'Etat dont il attaque les symboles, à travers une association aujourd'hui dissoute par la justice. Abu Wael al-Rifi se demande si, en toute logique, le mystérieux conseiller va enfin démissionner ou s'il va continuer à percevoir indûment son salaire pour un Centre qui n'existe même pas...