Abdelmajid Tebboun, président de l'Algérie. Juste un autre tweet et ils tombent. Les brigades électroniques dut pouvoir algérien sont partout chez nous. Il n'y a pas un site, un groupe Facebook ou un compte twitter où ils n'opèrent pas. Et ces derniers temps il n'y a pas de chômage en Algérie, il faut inonder la toile de tout ce qui dévalorise le Maroc et ses réalisations diplomatiques. Heureusement pour eux, les Marocains n'ont pas que ça à faire. Un Israélien d'origine marocaine a tweeté qu'il allait venir à Marrakech pour boire du thé avec ses amis. Beaucoup de réponses des Marocains qui lui souhaitent la bienvenue, mais aussi des réponses d'Algériens dont certains se cachent derrière de faux profils et beaucoup affichent des drapeaux palestiniens et algériens. L'erreur fatale de l'Algérie c'est de croire que la guerre se déroule sur internet. Elle y investit énormément. Le Maroc laisse faire, pour lui il n'y a pas de guerre. Il n'y a que la diplomatie du terrain. C'est pourquoi, il a pu arracher la reconnaissance américaine de sa souveraineté sur les régions du Sud. Enorme succès. Après la mobilisation des mosquées, l'Algérie espère que le Conseil de sécurité de l'ONU lit tous les tweets de ses agents camouflés et qu'il prenne enfin la décision qui lui ferait plaisir, une vue sur l'atlantique. Les internautes marocains lui ont pourtant dit que le seul moyen d'avoir une vue sur l'Atlantique c'est d'ouvrir un consulat à Laayoune ou Dakhla.