Le gouvernement canadien soutient « en principe » la candidature commune des Etats-Unis, du Mexique et du Canada pour l'organisation de la Coupe du monde de 2026, a annoncé mardi la ministre des Sports, Kirsty Duncan. Ottawa veut cependant étudier plus en détail l'impact de cet événement pour les finances publiques. Si la candidature nord-américaine est retenue par la FIFA, il promet d'investir 5 millions de dollars pour « soutenir l'élaboration de plans et de budgets qui lui permettront de prendre des décisions avisées quant au financement du tournoi », a indiqué Kirsty Duncan. Ottawa donnera également son appui en s'occupant de la sécurité et du contrôle des frontières, comme il l'avait fait lors de la Coupe du monde féminine de 2015. « Au nom de Canada Soccer, je tiens à remercier le gouvernement du Canada de son appui, a dit Steven Reed, président de Canada Soccer et coprésident de la candidature nord-américaine avec ses homologues américain et mexicain. [...] En tant que seul pays du G7 à ne jamais avoir présenté le tournoi masculin, nous sommes plus que prêts à accueillir le monde, en collaboration avec nos voisins, le Mexique et les Etats-Unis. » Cette annonce du gouvernement canadien est la dernière en lice pour démontrer que la candidature commune nord-américaine est sur la bonne voie. Montréal, Vancouver, Toronto et Edmonton, reconnues comme des villes hôtesses potentielles, l'ont déjà appuyée. La candidature Canada/Etats-Unis/Mexique sera déposée à la FIFA d'ici la fin de la semaine. L'attribution du tournoi sera décidée le 13 juin, à l'aube de la Coupe du monde présentée en Russie. Le Maroc est la seule autre candidature pour l'organisation de ce tournoi, le premier qui sera joué à 48 équipes plutôt qu'à 32. À la fin de décembre dernier, le président de la FIFA, Gianni Infantino, avait estimé que la candidature nord-américaine était un « message positif ». La FIFA, avait-il ajouté, n'a « pas le droit d'imposer de lourdes charges sur un seul pays si un événement peut être organisé [par] plusieurs ». Selon le plan de candidature, 10 rencontres seraient disputées au Canada, 10 autres au Mexique, tandis que les Etats-Unis accueilleraient les 60 rencontres restantes du tournoi. Ottawa veut cependant étudier plus en détail l'impact de cet événement pour les finances publiques. Si la candidature nord-américaine est retenue par la FIFA, il promet d'investir 5 millions de dollars pour « soutenir l'élaboration de plans et de budgets qui lui permettront de prendre des décisions avisées quant au financement du tournoi », a indiqué Kirsty Duncan. Ottawa donnera également son appui en s'occupant de la sécurité et du contrôle des frontières, comme il l'avait fait lors de la Coupe du monde féminine de 2015. « Au nom de Canada Soccer, je tiens à remercier le gouvernement du Canada de son appui, a dit Steven Reed, président de Canada Soccer et coprésident de la candidature nord-américaine avec ses homologues américain et mexicain. [...] En tant que seul pays du G7 à ne jamais avoir présenté le tournoi masculin, nous sommes plus que prêts à accueillir le monde, en collaboration avec nos voisins, le Mexique et les Etats-Unis. » Cette annonce du gouvernement canadien est la dernière en lice pour démontrer que la candidature commune nord-américaine est sur la bonne voie. Montréal, Vancouver, Toronto et Edmonton, reconnues comme des villes hôtesses potentielles, l'ont déjà appuyée. La candidature Canada/Etats-Unis/Mexique sera déposée à la FIFA d'ici la fin de la semaine. L'attribution du tournoi sera décidée le 13 juin, à l'aube de la Coupe du monde présentée en Russie. Le Maroc est la seule autre candidature pour l'organisation de ce tournoi, le premier qui sera joué à 48 équipes plutôt qu'à 32. À la fin de décembre dernier, le président de la FIFA, Gianni Infantino, avait estimé que la candidature nord-américaine était un « message positif ». La FIFA, avait-il ajouté, n'a « pas le droit d'imposer de lourdes charges sur un seul pays si un événement peut être organisé [par] plusieurs ». Selon le plan de candidature, 10 rencontres seraient disputées au Canada, 10 autres au Mexique, tandis que les Etats-Unis accueilleraient les 60 rencontres restantes du tournoi.