Dans le cadre du différend opposant la société Les Jeunes Maçons à un certain nombre de petites entreprises concernant des retards de paiement, la direction de LJM apporte des clarifications, indiquant qu'en raison de marchés conclus sans «prise en considération de l'inflation des matières premières», l'entité s'est retrouvée en difficulté financière. Pour éviter un arrêt de l'activité, Chakib Alj, qui a racheté les parts du fondateur, a injecté 200 millions de dirhams dans l'entreprise. Cet apport a permis à l'entreprise d'honorer ses marchés et de sauvegarder les emplois tout en assainissant un certain nombre de dettes fournisseurs. Selon le management, le nouvel associé gérant, Taoufik Benhaba, serait en contact avec les fournisseurs restants en vue de trouver des solutions à même d'apurer les dettes et de maintenir la continuité de l'activité.