Orange lance la 2e édition du concours de musique en Afrique sur StarAfrica.com en partenariat avec Deezer et Zimbalam. «Et si la prochaine, c'était vous ?», clame Star Africa Sounds qui organise un tremplin pour permettre aux jeunes musiciens de rêver. Afin de promouvoir des jeunes talents de la scène musicale africaine, StarAfrica.com lance la deuxième édition du concours de musique Star Africa Sounds, en partenariat avec Deezer et Zimbalam. Ouvert à tous, ce concours a pour objectif de donner un maximum de visibilité à des artistes issus du continent africain, en leur permettant notamment de mettre en ligne leurs morceaux sur les principales plateformes de téléchargement et de streaming. La première phase du concours se déroulera du 15 avril au 31 mai: les candidats (chanteurs, groupes, artistes, musiciens) peuvent s'inscrire sur StarAfrica.com en proposant une chanson originale qui est révélatrice de leur univers musical. Ce morceau sera ensuite mis en ligne sur le site accessible à toute l'audience de StarAfrica.com. La seconde phase, du 31 mai au 1er juillet 2013, fera intervenir les internautes : ils pourront voter sur le site StarAfrica.com pour leurs candidats préférés. Les 5 candidats ayant recueilli le plus grand nombre de votes seront ainsi sélectionnés pour la finale. Dans un troisième temps, un jury de professionnels de la musique désignera le grand gagnant du concours parmi ces cinq finalistes. Son nom sera dévoilé en exclusivité sur StarAfrica.com le 8 juillet 2013. Le concours StarAfrica Sounds permettra aux gagnants de voir leurs morceaux diffusés sur la plateforme Deezer Afrique et Afrique du Nord et distribués sur les principales plateformes digitales grâce à Zimbalam. De plus, de nombreux lots sont à gagner : une mise en avant sur StarAfrica.com et sur Deezer Afrique et Afrique du Nord, une mise en relation avec le label musical africain prestigieux Musiki, un compte Deezer for Artists certifié, un an d'accès gratuit premium+ à Deezer et 3 comptes albums sur zimbalam.com pour le premier prix, un compte Deezer for Artists certifié, un an d'accès gratuit premium+ à Deezer et 3 comptes albums sur zimbalam.com du 2e au 5e prix. La précédente édition de StarAfrica Sounds avait vu la participation de plus de 60 artistes, provenant de 19 pays et la victoire finale de Kutchala Sutchi avec son titre «Gomanan». Deezer, le site d'écoute de musique à la demande, s'est récemment lancé en Afrique et offre au public plus de 20 millions de titres. Le partenariat de Deezer avec StarAfrica Sounds permettra aux nouveaux talents d'atteindre une audience mondiale. Grâce au partenariat avec Zimbalam, les finalistes auront la possibilité de vendre leur musique sur les plateformes de téléchargement et de streaming du monde entier, en touchant 90% des royalties générées et ceci, sans exclusivité, ni engagement de durée : ils restent indépendants, libres et propriétaires de leur musique. Le cinéma à l'école Dia Sud Med est un projet financé par l'Union européenne, dans le cadre du programme Euromed audiovisuel. Il s'étend sur trois ans et est piloté par l'Ecole supérieure des arts visuels de Marrakech (ESAV). L'Ecole des arts visuels de Marrakech (ESAV)a accueilli les 17 et 18 avril un colloque euro-méditerranéen intitulé «l'enseignement du cinéma : approches comparées», dans le cadre de DIA SUD MED, une initiative financée par l'Union européenne, dans le cadre du programme Euromed audiovisuel et regroupant trois écoles de cinéma du sud de la méditerranée, l'ESAV de Marrakech, l'Institut supérieur des arts multimédia de la Manouba en Tunisie et l'Académie des beaux-arts de Beyrouth. «C'est dans la perspective de promouvoir un débat que l'on estime nécessaire sur l'actualité de l'enseignement du cinéma que s'inscrit le colloque : Enseignement du cinéma, approches comparées» ̧ déclare Vicent Mellili, directeur de l'ESAV et partenaire de DIA SUD MED. Après avoir été l'apanage de certains pays de la région, le cinéma en tant que discipline de l'enseignement supérieur s'est progressivement étendu à plusieurs pays de la Méditerranée, hier encore dépourvus de structures de formation idoines. «Des représentants de prestigieuses écoles européennes comme la Fémis (Paris), l'Ecole Louis Lumière (Paris), l'INSAS (Bruxelles), London Film School, ont participé à ces discussions et ont partagé leur expérience». Par ailleurs, des réalisateurs confirmés, notamment Faouzi Bensaïdi, Jilani Saadi et Ghassamn Salhab et des professionnels, potentiels recruteurs à la sortie de ces formations, faisaient partie de la liste des invités, afin de définir clairement les besoins en compétences et ancrer les discussions dans la réalité de la pratique professionnelle. Au sein des écoles de cinéma récemment créées et au regard de contextes nécessairement différents, la question des contenus pédagogiques a fait l'objet de très peu de débats, tant elle semble relever d'une évidence partagée par les universitaires et les professionnels intervenant dans ces différentes écoles.