Algérie L'argent de la Sonatrach et des banques privées, la corruption à tous les nivaux ne sont pas les seuls instruments de la guerre acharnée qui s'est déclenchée, il y a quelques semaines au sommet de l'establishment algérien. En effet, le problème du Sahara commence à devenir le sujet-clé lui aussi sur le plan de ces tiraillements. Pour la première fois des voix se lèvent aussi bien au niveau de l'armée que de la classe politique algérienne appelant à mettre fin, sans tarder, à ce faux problème. Et, de là à économiser les énergies et les montants pharamineux dilapidés pour garder cette affaire sous perfusion. Ce début de changement de position a incité les autres clans à fuir en avant et faire monter les surenchères. Quoi qu'il en soit, le problème du Sahara va devenir au fil des jours le casse-tête de toutes les partis liées à cette course aux présidentielles. Force est de souligner qu'un clan considérée parmi les décideurs de la dernière minute a demandé à ses alliés politiques de préparer un véritable projet de solution au problème du Sahara, étalé sur plusieurs années, sans faire perdre totalement la face.