Ahmed Merzak, le président de l'Université Cadi Ayyad se veut rassurant : « Nous sommes déterminés à sauver l'année universitaire en cours. Nous allons garantir le déroulement des cours dans les meilleures conditions possibles... ». Selon Merzak, les fauteurs de troubles ne demeurent qu'une minorité dans les rangs des étudiants, dont certains ont été arrêtés où expulsés de l'Université. Une minorité qui a pourtant causé des dégâts importants au sein de l'Université.