Impossible de se calmer devant ce qui se passe sur la scène nationale et internationale, non pas que l'affaire soit anormale, mais parce qu'elle est devenue insupportable, elle est la sonnette de l'alarme la plus significative de la dégradation des moeurs et des comportements de ce qui fut l'espoir d'une vie saine et durable. S'agit-il d'une révolution rétro ? Où l'engouement pour le haut en compagnie du sang occupe une place sans précèdent en subconscient de certains. La vie se dit trop c'est trop, tout rêve a des limites, la mesure d'une chose doit s'analyser à long terme pour éviter les dérapages. Réfléchir sur l'avenir est de d'abord compter ce qui est comptable. Puisque les faibles refusent d'actionner les procédures pour des rasions objectives, il faut que les cœurs trouvent des solutions alternatives pour impliquer l'ensemble dans la vie, n'est-ce pas la démocratie dont tout le monde parle ou juste le ronronnement sans fin. La transgression n'a pas d'intérêt, elle ne fait que compliquer la vie, de la rendre très inaccessible. Une fois moralisés, ils font passer à l'étape suivante à savoir la communication associée bien entendu au respect mutuel, il ne sert à rien d'appliquer le snobisme ; on est égaux devant un problème d'où la flexibilité culturelle. Le développement ne se réalisera que par une meilleure combinaison sociale assez versifiée. C'est notre patrie à nous tous ; oui ; oui la pauvreté n'est pas une tare ; oui, oui la richesse n'est pas une force éternelle. Et, tout le monde souhaite posséder ce qui est durable, mais aucune chose n'est durable, seule chose : l'immatériel de nos actions qui sera le pivot soit du bonheur soit du malheur.