Dans toute nation qui se respecte, un gouvernement, assisté par une ou deux assemblées composées de députés respectables et respectés, semble diriger le pays et régler les affaires d'Etat. Néanmoins, il y a toujours, dans les coulisses, un second gouvernement, invisible mais très puissant, qui tire les ficelles, ordonne et sévit. Il impose, au chef d'Etat, aux ministres et aux parlementaires, la marche à suivre en leur soufflant les décisions politiques à prendre. Les personnes averties connaissent parfaitement l'existence de cette entité composée de personnages détenteurs de certains pouvoirs vitaux. A l'échelle internationale, notre bonne vieille planète Terre n'échappe pas à ce machiavélique processus. L'Organisation des Nations Unies, est un semblant de gouvernement international, qui ne gouverne pas ; il est gouverné par un gouvernement secret composé par les membres de la fine fleur internationale : les illuminatis. Cette élite comprend des hommes hors du commun, triés sur le volet et très solidaires. Ils forment l'ossature de ce fameux gouvernement invisible. Ils se sont assignés un objectif : réduire à l'esclavage tous les hommes sur terre. Ils ôteront à l'être humain sa vraie foi. Ils vont lui déclarer une guerre sans merci en utilisant toutes les armes : militaires, économiques, sociales et la plus inépuisable et redoutable : la femme, le sexe dit faible. Leurs efforts tendront, grâce aux atouts dont l'a dotée la nature, notamment les plaisirs charnels, la fornication, l'inceste et tous les autres vices y afférents, à supprimer les principes des lois spirituelles grâce auxquelles l'homme et la femme se distinguent de la bête. S'ils n'arrivent pas à leur fin, ils n'en seront pas pour autant découragés. Pour ne pas attirer l'attention au risque de mettre la populace sur ses gardes, ils pousseront les notables et les chefs religieux à modifier ces dites lois. Et elles seront relookées selon leurs directives qui ne souffrent aucune dérogation. Ainsi, la perte partielle ou totale de ces lois spirituelles provoquera un dangereux contre coup : l'affaiblissement de la foi des hommes. Ce qui sera inéluctable, car, les hommes d'église, de synagogue ou de mosquée, pour ne citer que ces religions monothéistes, ne seront plus capables de convaincre leurs auditoires par des sermons ou par des explications. Si certaines lacunes apparaissent dans leur machiavélique entreprise, ils les combleront en inoculant dans les esprits des hommes, de nouveaux raisonnements matérialistes et des appréciations mathématiques. Dans toutes les couches de la société, on assiste déjà à bon nombre d'agitations qui nous laissent perplexes. Dans les églises, n'a-t-on pas enregistré l'égarement de prêtres dépravés et homosexuels ? Dans les mosquées, n'a-t-on pas surpris des fkihs homosexuels ou coureurs de jupons en train de goûter aux plaisirs charnels ? Ces mêmes fkihs, ne délaissent-ils pas leur fonction et leur msid pour aller déterrer des trésors ? Ces garants de lois spirituelles retourneront leur chemise ; ils deviendront, corrompus, calomniateurs, prétentieux, insatiables et portés sur les plaisirs et l'argent. Et c'est le but recherché par les illuminatis ! Les hommes, les gouvernements, les pays seront à leur merci. Ils seront guidés comme des bêtes de somme exécutant le moindre ordre ; et gare à ceux qui n'obtempèrent pas, ils seront, illico presto, conduits à l'abattoir. A plusieurs reprises, il a été démontré que la voix du canon est la plus appropriée et la plus persuasive. Ils s'attaqueront aux sacro saintes lois qui régissent le bon comportement des membres du Foyer. L'impact de la famille sur le citoyen sera réduit à néant. La progéniture lèvera sa main sur son géniteur et sa génitrice. Entre les époux, l'harmonie conjugale sera enterrée dans le cimetière de l'oubli. Après plusieurs années de bonheur, les membres d'une même famille se séparent avec pertes et fracas et le foyer disparaît. Ainsi son pouvoir éducatif n'aura plus l'effet escompté sur les générations à venir. En conséquence, toute émergence de personnalités indépendantes, sera étouffée dans l'œuf. D'où, la population ne comptera plus des hommes, mais des serfs. Et les peuples seront réduits à l'esclavage. Ces dirigeants de chaque Etat dans le monde entier, ces leaders des hautes sphères, ceux qui prônent et prétendent défendre les libertés des nations, savent pertinemment que la "nation libre" n'existe pas. Eux-mêmes, sont parfaitement conscients qu'ils se trouvent sous le contrôle des Illuminatis. Ces derniers, sans foi ni loi, assoiffés de pierres et de métaux précieux ainsi que de tout ce qui y ressemble de près ou de loin, possèdent d'immenses richesses frauduleusement amassées. Ils sont tellement mauvais et fourbes que, pour les accumuler, rien ne les arrête ; les massacres des êtres humains et les magouilles sans scrupules, ne sont pour eux, que de simples formalités. Ils se sont ainsi assurés le contrôle des "nations soit disant libres" grâce à la création de monopoles colossaux. Ces dits monopoles gèrent les richesses indispensables à la survie de tous les Etats de la planète : le pétrole, l'or, les minerais, le café, le cacao, les multinationales, etc... et surtout les banques. Ils excellent dans l'art de mettre les nations en difficulté. Ils déclenchent des mécanismes qui, en soustrayant l'argent qu'ils ont eux-mêmes mis en circulation, engendreront des crises économiques dans les Etats ciblés. Afin de renflouer leur trésor public et redresser leur économie, quelle serait la meilleure solution pour ces Etats au bord de la banqueroute ? De nouveaux impôts risqueraient de déclencher la grogne de la population. Des revendications, suivies de dangereuses et incontrôlables émeutes mettraient, tout dirigeant de l'un de ces Etats tourmentés, en équilibre instable sur son piédestal. Pour ne pas arriver à cette fâcheuse situation, il ne lui restera plus que la seule solution, chère aux bailleurs de fonds : emprunter avec intérêts. Il sera contraint de s'adresser aux banques appartenant aux responsables de la débâcle économique de son pays. L'argent qui a été soustrait des caisses de son pays, lui sera reversé grâce à des emprunts avec intérêt à l'appui. Et quels intérêts ! Les Etats, qui optent pour cette solution expéditive et irréfléchie, seront entraînés dans un infernal cercle vicieux : les intérêts ne seront que partiellement remboursés. Et à la fin de l'échéance, les bailleurs imposeront de nouveaux intérêts calculés sur le nouveau capital évalué comme suit : Nouveau capital = capital initial qui n'a pas changé + montant des intérêts non payés. En définitive, les Etats qui empruntent deviendront des serfs asservis. Ils ne pourront agir, que suivant les directives et selon le bon vouloir de leurs nouveaux patrons. Pour se faire payer, les bailleurs, pour lesquels, seule la fin justifie les moyens, ne reculeront devant aucun procédé, si abject soit-il ! La guerre est la plus prisée. Ces Etats, au lieu d'être "libérés", se retrouveront inexorablement colonisés. Les autochtones seront malmenés, appauvris et asservis par ces ennemis de l'Humanité.