Les récentes pluies torrentielles qui se sont abattues sur le centre-est et le sud-est du Maroc ont causé des crues et des inondations d'une ampleur impressionnante, emportant tout sur leur passage. Mais, au milieu du chaos et de la désolation, un espoir brille : celui d'un État qui, avec promptitude et efficacité, se mobilise pour secourir ses citoyens. Mobilisation rapide, au cœur de l'urgence En effet, face à ce désastre, l'engagement total des autorités marocaines est un modèle de solidarité et d'efficacité. Loin de rester les bras croisés, le Royaume a déployé des moyens colossaux pour apporter une aide concrète et rapide aux populations sinistrées. La réponse des autorités marocaines a été rapide, massive et admirable, avec une mobilisation exemplaire des différents corps d'intervention et des services étatiques. Les autorités marocaines, en synergie parfaite avec les forces de la Gendarmerie Royale, la protection civile, les Forces Auxiliaires, les instances locales et celles de l'Intérieur..., se sont engagées dans une véritable course contre-la-montre pour venir en aide aux victimes de cette catastrophe naturelle. Les crues dévastatrices qui ont frappé ces régions du Maroc ont laissé derrière elles un lourd tribut. Les forces d'intervention sur tous les fronts Dès les premières alertes, la Gendarmerie Royale, la Protection civile et les Forces auxiliaires ont été déployées dans les zones rurales et les localités enclavées pour porter secours aux habitants piégés par les eaux. Leurs efforts ont permis de sauver de nombreuses vies, d'évacuer des familles entières et de limiter les dégâts matériels dans les régions inondées. Screenshot Dans les villes sous juridiction urbaine, c'est la Police nationale qui a pris le relais, supervisant les opérations d'évacuation et sécurisant les quartiers dans lesquels les crues menaçaient de submerger habitations et infrastructures. Ce déploiement coordonné a été essentiel pour éviter un bilan humain encore plus lourd et rétablir l'ordre rapidement dans les zones sinistrées. L'implication des Forces auxiliaires, omniprésentes dans les opérations de secours, mérite d'être soulignée. Que ce soit pour rechercher les personnes portées disparues (brigades cynophiles), évacuer les zones dangereuses ou distribuer des vivres et des médicaments aux familles déplacées, ces unités ont travaillé sans relâche aux côtés de la Protection civile pour offrir une réponse rapide et adaptée à l'urgence. Un bilan humain et matériel lourd Ce drame naturel a mis à rude épreuve les infrastructures et les habitants des provinces de Tata, Errachidia, Tiznit, Tinghir, et Taroudant. Le bilan de cette catastrophe naturelle est tragique. Au moins 18 personnes ont perdu la vie, dont trois ressortissants étrangers : un Péruvien et un Canadien à Errachidia, et un Espagnol à Tinghir. Screenshot Dans la province de Tata, l'une des plus durement frappées, 10 victimes ont été déplorées, tandis que les recherches continuent pour retrouver les personnes portées disparues. Les torrents d'eau ont également causé des destructions massives dans les infrastructures locales : routes submergées, ponts effondrés, habitations inondées, laissant des familles entières sans toit. Le temps d'un répit du ciel en ce début de semaine, des hélicoptères ont été déployés aussitôt pour atteindre les zones les plus enclavées, apportant des vivres et du matériel médical aux familles coupées du reste du pays. Screenshot La Gendarmerie Royale, avec sa précision militaire, a su établir des ponts temporaires et dégager des routes pour faciliter l'accès des secours. Dans les zones montagneuses, où les torrents menaçaient de tout emporter, des équipes spécialisées de la protection civile ont été mobilisées pour évacuer les familles et les animaux, évitant ainsi une catastrophe encore plus grande. Les ministères de l'Intérieur et de l'Équipement à pied d'œuvre Dans le cadre de cette mobilisation, les ministères de l'Intérieur et de l'Équipement et de l'Eau ont joué un rôle central. Le ministère de l'Intérieur a activé des cellules de crise dans chaque province affectée, mobilisant des ressources humaines et matérielles considérables pour coordonner les efforts de secours, assurer la communication entre les différents corps d'intervention, et veiller à ce que les populations sinistrées soient prises en charge. Screenshot Ces inondations, causées par des précipitations d'une intensité rare, sont qualifiées d' »exceptionnelles » par la Direction générale de la météorologie (DGM). La région de Ouarzazate, par exemple, a reçu 47 mm de pluie en trois heures, un volume équivalent à celui enregistré en une année entière en temps normal. À Tagounite, près de Zagora, les précipitations ont atteint jusqu'à 170 mm, transformant les rivières asséchées en torrents dévastateurs. Un État au service de ses citoyens Face à ce désastre, l'engagement total des autorités marocaines est un modèle de solidarité et d'efficacité. Loin de rester les bras croisés, le Royaume a déployé des moyens colossaux pour apporter une aide concrète et rapide aux populations sinistrées. Screenshot Cette réponse exemplaire n'est pas seulement celle des autorités étatiques. Elle reflète un esprit de solidarité nationale. Le Maroc, une fois de plus, prouve qu'il sait surmonter les épreuves grâce à une cohésion sociale forte, portée par des institutions réactives et un peuple uni.