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Samedi 7 Juillet
Publié dans GoAgadir le 22 - 05 - 2007


Place Al Amal – À partir de 18h
Ahwash Ouintejgal (Ouarzazate -Maroc)
Ouintejgal est un village de l'anti-atlas situé à environ 40 km au sud de Taznakht, et à près de 130 km de la province de Ouarzazate. Parmi les arts populaires de ce douar, on trouve la culture d'Ahwash. Celle-ci est exclusivement composée d'hommes et compte une dizaine de genres de jeux différents (Darsst, Ibaz, Arrassal…), accompagnés de nombreux instruments: Bangri, Tallount, Lhamz, Naqus…Certains codes vestimentaires sont également d'usage : djellaba blanche, Rzza, Idoukane…
Forte de son splendide héritage culturel, la province de Ouarzazate tient à le conserver en mettant en lumière l'extrême diversité de ses traditions. La culture d'ahwash a une réelle portée symbolique qui met en avant l'étroite relation liant les hommes à leur environnement.
La troupe d' Ouintejgal a ainsi participé à diverses rencontres et festivals locaux, régionaux, nationaux et internationaux (surtout en Europe : en France, en Belgique, aux Pays Bas…)
Gilberto Gil (Brésil)
Élevé dans un petit village de la région de Bahia, Gilberto Passos Gil Moreira commence à étudier l'accordéon à 9 ans. A la fin des années 50, il forme son premier groupe et s'éprend de la musique de Joao Gilberto. Conquis par le rythme de la Bossa Nova, il se met à la guitare et commence à chanter.
Consacré par un Grammy Award en 1999, Gilberto Gil est un chanteur engagé, en chansons et en actes. Il s'est inscrit au Parti du mouvement démocratique brésilien dans les années 80 et a été Secrétaire à la Culture de la ville de San Salvador.
Ses chansons défendent la condition féminine, prônent l'écologie, les cultures noire et caribéenne. Chantre du "Tropicalisme" et de la "movida" brésilienne, sa musique est un enchantement. Que dire de ces chefs-d'œuvre de la musique brésilienne ? Pas de mots pour qualifier la vie qu'ils recèlent, excepté pour préciser qu'en les réécoutant ou en les découvrant, on comprend mieux les raisons du succès de Monsieur Gilberto Gil… Artiste complet, il a bâti son succès sur son charisme, son éclectisme musical et ses paroles engagées.
www.gilbertogil.com.br
Mamar Kassey (Niger)
Le groupe Mamar Kassey est né en 1995 de la complicité de deux hommes : Yacouba Moumouni, alias Denke Denke, et Abdallah Al Hassane, tous deux musiciens sortis du Centre de Formation et de Promotion Musicale de Niamey.
Du Niger au Mali en passant par le Burkina Fasso, Mamar Kassey a séduit plus d'un spectateur. Sa carrière internationale débutera au cours de l ‘édition 1997 des « Nuits Atypiques de Koudougou ». Il est devenu depuis lors l'un des groupes phares de la scène nigérienne.
Dans la musique du groupe, la tradition n'est pas un frein, mais bien l'élément dynamique qui donne à sa création artistique tout son sens et toute sa saveur.
Le groupe Mamar Kassey n'est pas le fruit d'un quelconque hasard. C'est l'aboutissement des efforts conjugués d'hommes et de femmes convaincus de la nécessité de donner au Niger sa voix dans le concert des musiques du monde.
Kassav' (Antilles/France)
L'aventure a commencé en 1979 lorsque Pierre-Edouard Decimus, vieux routier de la musique antillaise et Freddy Marshall décident de concevoir une nouvelle démarche musicale. Le groupe se formera au fur et à mesure, avec des allées et venues de musiciens et chanteurs avant de trouver sa formule “définitive”.
Fin 1985, le groupe est au complet et lance la bombe qui inaugurera la notoriété internationale de Kassav' avec le morceau "Zouk la sé sèl médikaman nou ni" sur l'album "Yélélé". Dès lors, le groupe n'a cessé d'écumer les scènes du monde entier, de la Suisse au Brésil, en passant par la Nouvelle Calédonie et New York. Premier groupe de musique antillaise à avoir reçu un album d'or en 1986, Kassav' est surtout une grande famille qui a accouché de 15 albums (dont 6 en or), avec plus d'une cinquantaine de représentations au Zénith de Paris, de très nombreuses décorations, nominations et des milliers de spectateurs à travers le monde, et ce durant leur 21 ans de vie commune ! Leur dernier album «K toz» est irrésistible !
www.kassavmusic.com
Nass El Ghiwan (Casablanca -Maroc)
Fierté nationale, Nass El Ghiwan depuis qu'il est né dans les années 70 dans l'un des quartiers les plus populaires de Casablanca, Hay Mohammadi, le groupe renouvelle la musique marocaine au travers de textes poétiques soutenus par une musique rythmée, influencée par les répertoires traditionnels anciens. Ce groupe fait ainsi naître un nouveau courant musical, reflétant la misère morale et matérielle. Le groupe Nass El Ghiwan a su adapter sa créativité au contexte socio-politique qui l'a vu naître, et ainsi offrir aux Marocains une nouvelle voix.
Dès 1973, Nass El Ghiwan remporte un disque d'or et impose son style, maintes fois copié dans les années qui suivront. Le groupe est ainsi né d'une volonté de « chanter comme on parle ». C'est pourquoi, leurs textes sont souvent rédigés en arabe dialectal marocain, accessible à tous.
Ceux que Martin Scorsese appelait "les Rolling Stones de l'Afrique" déchaînent toujours autant les foules quand ils se produisent sur scène. Ils ont révolutionné la musique marocaine et maghrébine et laissé une trace indélébile dans le paysage culturel du pays.
Leur dernier album « Nahla Chama » est sorti au début de l'année 2007.
Izenzaren (Souss -Maroc)
Fondé en 1972, Izenzaren, avec ses chansons et ses arrangements originaux, restera l'une des formations qui a marqué, à jamais l'environnement musical amazigh. Les musiciens d'Izenzaren ont inventé un nouveau courant musical, le «tazenzart», avec ses rythmes, ses poèmes et sa propre thématique.
Par ses chants, le groupe se fait porte parole de toute une génération de jeunes amazighs, déroutée par les métamorphoses rapides de la société. Il constitue une sorte de repère identitaire pour une jeunesse assoiffée de reconnaissance mais, surtout, à la recherche de symboles.
En 1976, le groupe se produit pour la première fois à la télévision marocaine. S'ensuit une tournée qui le mènera à Paris sur la scène de l'Olympia, et une participation au premier festival de la chanson maghrébine en 1978.
Certaines de leurs chansons font parti du répertoire immuable, comme : « Wad ittemuddun » (voyageur), « Wa zzin » (Oh ! beauté), « Ttuzzalt » (poignard).
Aujourd'hui, Izenzaren continue d'animer festivals et rencontres culturelles au Maroc et à l'étranger. Avec Idir ils nous ont fait l'honneur d'ouvrir le premier festival Timitar en 2004.
- Samedi 7 juillet -
Scène Bijawane – À partir de 20h
Boutmzought (Moyen Atlas -Maroc)
Né en 1964 à Khémisset, Omar Boutmzought participe depuis 2003 à de nombreux festivals et soirées, au Maroc comme sur la scène internationale (France, Italie).
Il est également très présent dans les manifestations culturelles fondées sur la promotion de la culture amazighe.
Après 38 albums lancés sur le marché, Omar Boutmzought traite de divers sujets comme l'immigration ou la problématique sociale et culturelle amazighe.
Harem (Turquie)
Harem, c'est l'union de quatre percussionnistes et d'un DJ. De cette rencontre sont nés quatre albums en cinq ans, vendus à plus de 1 million et demi d'exemplaires et de grandes tournées en Turquie et en Europe.
Le projet Harem (Harem I.II.III et IV) est connu dans plus de 50 pays. Les musiciens du groupe ont, d'autre part, collaboré avec de nombreux chanteurs et artistes de renom.
Leurs concerts ont eu lieu dans les festivals les plus prestigieux à travers le monde (26 pays): Grèce, Espagne, Italie, Russie, Ukraine, Belgique...
La sortie, au printemps 2007, de leur dernier album permet au groupe de repartir en tournée sur les routes du monde entier et de charmer un public toujours grandissant.
Chebba Zahwania (Maroc/Algérie)
Chebba Zahwania est née à Oran, d'un père marocain et d'une mère algérienne. Le grand public l'accueille en 1986, où elle remporte un vif succès grâce à son titre « El Barraka » qu'elle interprète avec le regretté Cheb Hasni, duo provocateur qui avait suscité de vives réactions …
Elle sait s'entourer de très bons musiciens qui, grâce à leurs rythmes envoûtants, nous transportent entre le raï traditionnel (cheikhât) et le raï moderne.
En 1994, au lendemain de l'assassinat de son ami Cheb Hasni, elle quitte l'Algérie pour la France.
Celle que l'on nomme « la princesse du Raï » nous présentera son nouveau spectacle depuis la sortie de son dernier album en 2006 « Yana Yana » (El Ghorba) et enchantera le festival de son grain de voix incomparable.
Amarg Fusion (Agadir -Maroc)
Créé en 2002 à Agadir, Amarg Fusion rassemble des musiciens du Souss aux influences jazz et rock qui essaient de faire de leur musique un point de rencontre entre les sons d'hier et ceux d'aujourd'hui. Une fusion accomplie entre notre patrimoine culturel traditionnel, répertoire des grands rways du Souss, et les mélodies et rythmes contemporains universels tels que le jazz ou le reggae. Les huit membres d'Amarg Fusion ne lésinent pas quant aux moyens : ils abordent des mélodies amazighes avec une technique de virtuose, et n'hésitent pas à introduire, d'une manière limpide, des rythmes sénégalais et maliens.
Grâce à la sympathie et au naturel de son jeu de scène, Amarg Fusion n'en finira pas de charmer les divers publics qui viendront à sa rencontre.


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