L'acharnement contre le Maroc a dépassé toutes les limites imaginables. Entre les manigances de la presse espagnole, les fourberies du Polisario et les tentatives de dénigrement de certaines «intelligences» désignées persona non grata au Maroc, on aura tout vu. Aujourd'hui, mettant faussement en orbite les évènements qui se passent en Tunisie et en Egypte, les détracteurs du Royaume fourbissent sournoisement des plans pour tenter de déstabiliser un peuple fortement attaché à la Monarchie et au trône alaouite. Ce qu'ils ne savent pas, ou qu'ils feignent sciemment de ne pas savoir, est que le Maroc n'est ni la Tunisie, encore moins l'Egypte… et que le peuple marocain ne saurait se faire manipuler par un groupuscule d'individus aigris et jaloux, rêvant de semer la panique dans un Royaume stable politiquement, mais aussi économiquement. Un Royaume qui s'inscrit dans la voie de la modernité et qui a foi en son Roi et à sa patrie. Nous ne sommes pas dupes. Et nous continuerons, fibre patriotique chevillée au corps, à rester vigilants et à être les remparts infranchissables de tous ceux qui expriment leur haine et leur mépris envers le Maroc. Aujourd'hui, plus que jamais, la presse a un rôle important à jouer. Il s'agit d'informer vrai la population marocaine face à des gens qui travestissent honteusement les faits. Il s'agit d'éveiller les consciences face à des trafiquants d'idées. Il s'agit, surtout, d'être les premiers boucliers face à ceux qui, de façon abjecte, se glorifieront de voir notre pays déstabilisé. «Dieu, la patrie, le Roi» : cette devise, nous y croyons. Nous la portons. Nous la vivons au quotidien. Il ne saurait en être autrement.