La gendarmerie royale fut créée par le Dahir n° 1-57-079 du 17 mai 1957 sur la gendarmerie royale. L'art. 2 définit la gendarmerie Royale comme force publique chargée de veiller à la sûreté publique et d'assurer le maintien de l'ordre et l'exécution des lois sur toute l'étendue du territoire ainsi qu'aux armées. La gendarmerie royale fut créée par le Dahir n° 1-57-079 du 17 mai 1957 sur la gendarmerie royale. L'art. 2 définit la gendarmerie Royale comme force publique chargée de veiller à la sûreté publique et d'assurer le maintien de l'ordre et l'exécution des lois sur toute l'étendue du territoire ainsi qu'aux armées. De tous les temps on a exprimé des plaintes contre l'injustice, l'insécurité et contre l'impuissance face aux vicissitudes de la vie. C'est ainsi qu'à travers les Doukkala province de Sidi Bennour, la délinquance sous toutes ses formes s'était accrue à certains moments. L'image de la région des Doukkala n'offrait plus la quiétude tant vantée par ses résidents. Cependant, force est de constater que la situation commence à changer. Une nette amélioration se fait sentir et est bien accueillie par la population régionale, et ce grâce à l'arrivée du jeune capitaine Yassine Yaziri, commandant de compagnie de la Gendarmerie Royale de Sidi Bennour qui semble insuffler un nouveau rythme de travail à ses hommes. Dès l'annonce de sa nomination et bien avant son affectation effective, sa réputation de baroudeur s'était déjà propagée comme une traînée de poudre. Dans leur lutte contre le crime, les éléments de la Gendarmerie Royale ont énuméré plusieurs affaires de crime de sang, à titre d'exemple la découverte de deux cadavres de sexe féminin assassinées dans la région des Ouled Taleb caïdat Bouhmam. L'auteur de ce crime a été dans un temps record arrêté et présenté à la Cour d'appel d'El Jadida. La lutte efficace contre la criminalité dans la Campanie de la gendarmerie Royale de Sidi Bennour, menée par les services Du centre judiciaire et les 7 brigades territoriales de la Gendarmerie Royale, a permis selon le bilan de l'année 2012-2013 de juguler le phénomène de la criminalité en traitant plusieurs procédures judiciaires de nature correctionnelles et pénales et en déférant de plusieurs personnes devant la justice. Concernant les vols qualifiés et falsifications des cartes de garantie et contrats de vente et escroquerie, le bilan fait état de plusieurs affaires de vélomoteurs saisis qui ont abouti à l'arrestation des trafiquants présentés à la justice. La brigade moto peloton a procédé également au contrôle de plusieurs véhicules, autocars et taxis. Ils ont dressé à cet effet plusieurs contraventions pour violation du Code de la route. De source sûre émanant du tribunal et des informations planées auprès des greffiers, plus de centaine personnes recherchées depuis de longues années ont été écrouées et déférées près du parquet et plus de flagrants délits ont été recensés en l'espace de deux mois. Ces quelques chiffres montrent plus que jamais les résultats méritoires d'un jeune commandant dont la détermination semble être de mener à bien la mission qui lui a été confiée par ses hauts supérieurs afin de redonner le blason des Doukkala, région dont l'éclat retentit depuis fort longtemps bien au-delà de ses ancêtres. Au-delà de toutes ces considérations et selon la réputation qui a accompagné ce nouveau officier supérieur, cet homme intègre, rigoureux, discipliné exige de ses hommes une mobilisation permanente. Il est, dit-on, aussi modeste et doté d'un grand sens de responsabilité. Actuellement la région des Doukkala est enfin nettoyée. Et ce mot n'est pas en vain.