Sur Twitter, Me Meriem Jamal Idrissi, avocate au barreau de Casablanca et chargée des affaires judiciaires de l'Association marocaine des droits des victimes (AMDV), s'est indignée du soutien apporté par le «Polisario», une entité fantoche, à Omar Radi qui est en détention préventive pour des accusations de viol et d'espionnage. Omar Radi est poursuivi à la fois pour avoir reçu des «financements étrangers», «atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat» et «viol» dans deux affaires jugées conjointement par la chambre criminelle de la cour d'appel de Casablanca. #omaratuémadignité #cultureduviolpolitique #cultureduviol #Webelievewomen البوليزاريو تلتحق بلائحة المتضامنين مع عمر وسليمان قصد التدخل في القضاء المغربي وجعله سيفا يقطع رؤوس ضحايا الاغتصاب … — Meriem Jamal idrissi (@MeriemJamalidr1) May 1, 2021 «Ils recherchent toutes sortes d'alliances, même avec les ennemis», a dénoncé sur Twitter Hafsa Boutahar, victime d'un viol commis par son confrère Omar Radi l'été dernier. Hafsa Boutahar, accusatrice du journaliste Omar Radi, et l'AMDV ne cessent de se mobiliser contre les «voix de la diffamation» et signaler l'exploitation faite de cette affaire et des machinations montées de toutes pièces. يبحثون عن جميع انواع التحالفات حتى مع الاعداء.. ضد من كل هذا!!️ ضد امرأة رفضت ارتداء عبايه الدل.. ضد امرأة يا عباد الله… #omaratuémadignité #cultureduviol https://t.co/MjMoLTbxEr — Hafsa Boutahar (@hafsa_boutahar) May 1, 2021