El Mustapha Ramid, ministre d'Etat chargé des Droits de l'Homme et des Relations avec le Parlement, continue de tenir un double langage et essaye toujours de camoufler la réalité de ses escapades nocturnes avec sa petite famille. On l'avait déjà annoncé : le ministre pjdiste chargé des Droits de l'Homme, El Mustapha Ramid, a été aperçu, en fin juin 2019, dans un night-club de la capitale. Une nouvelle qui n'a apparemment pas plu à ce ministre islamiste puisqu'il l'a directement niée et a annoncé qu'il comptait traduire la rédaction de Barlamane.com en justice. Au-delà de ses menaces qu'il n'a pas encore mises à exécution [et pour cause !], il faut savoir qu'en tant qu'ex-ministre de la Justice et actuel ministre d'Etat chargé des Droits de l'Homme, El Mustapha Ramid n'a pas respecté le principe de l'intérêt de l'enfance en emmenant une fillette dans un lieu qui, la nuit se transforme en nightclub et bar notoire à Rabat, avenue Mehdi Benbarka. Ce que nous dénonçons notamment dans la capsule en darija « dirha agha zwina ». Les actes irréfléchis du ministre d'Etat chargé des Droits de l'Homme et des Relations avec le Parlement ne s'arrêtent pas là. En effet, il est resté silencieux lors de l'escapade amoureuse parisienne de Mohamed Yatim avec « sa kinésithérapeute ». Toutefois, il s'en est pris à Amina Maelainine pour ses photos non voilée dansant devant le Moulin Rouge. Des propos qui ont suscité l'ire de plusieurs citoyens qui ont indiqué que Ramid essaye de propager une idéologie misogyne et agressive envers les femmes au moment où il est supposé défendre les droits des femmes et des hommes compte tenu de son portefeuille gouvernemental. Sans oublier qu'il défend, sous couvert de fausse vertu liée à l'idéologie islamiste, à Maelainine, ce qu'il se permet lui en compagnie d'une femme et d'une enfant. Bien sur, Nous n'avons cure de ce qu'il fait de sa vie privée, mais notre rôle de journalistes est d'informer sur la duplicité de son langage en tant que ministre et en tant que dirigeant d'un parti au pouvoir. Les dérapages de ce ministre et ses actes irréfléchis tels que ses scènes rocambolesques au Parlement, sa misogynie ou encore ses escapades nocturnes en compagnie d'une mineure sont en contradiction avec ses prérogatives. Nous persistons et signons et attendons sa supposée plainte en justice. Car nous disposons d'informations avérées, nous ne craignons pas la harangue. D'ailleurs à Barlamane.com quand il nous arrive bien rarement de nous tromper, nous n'hésitons pas en informer nos lecteurs et le public.