Tout comme ses mentors que sont les dirigeants du PP, M. Ramirez n'aime pas le Maroc. Et ne rate aucune occasion pour le dénigrer dans le cadre de campagnes de désinformation qui suintent trop la haine. Perdro J. Ramirez est-il un homme des médias? En tout cas, Jaume Sastre, écrivain et leader politique en Espagne, le décrit sous d'autres traits très peu flatteurs. Le patron d'”El Mundo” est plutôt présenté comme un maître-chanteur, très peu regardant sur les principes, qui exploite son statut de journaliste pour monter, sur ordre de ses commanditaires, des coups qui ont peu de rapport avec la presse. Ainsi de son accusation flagrante à propos des attentats de Madrid qui ne sont à ses yeux qu'un complot ourdi par les services marocains, une partie de leurs homologues espagnols et le Psoe de Zapatero pour arriver à leurs fins : provoquer la défaite du Parti Populaire (PP) aux dernières élections législatives et favoriser la montée du Parti Socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero. Quel délire ! Effectivement, c'est ce qui est arrivé. Mais comme tout le monde le sait, la débâcle historique de la formation de l'ex-président, José Maria Aznar, trouve son origine dans le mensonge flagrant de l'équipe sortante, qui a tenté de cacher la vérité sur les vrais responsables des attentats. D'où le vote-sanction des électeurs. Tout comme ses mentors que sont les dirigeants du PP, M. Ramirez n'aime pas le Maroc. Et ne rate aucune occasion pour le dénigrer dans le cadre de campagnes de désinformation qui suintent trop la haine. La dernière en date a porté sur une fumisterie signée Ramirez lui-même dans les colonnes d'”El Mundo”, selon laquelle des prisonniers espagnols au Maroc subissent les pires tortures. Du coup, les dirigeants de la droite espagnole, ses employeurs, ont crié au scandale, en donnant libre cours à leur anti-marocanisme primaire. C'est cousu de fil blanc. Cette affaire grossière a fait plouf ! Le groupe de presse dirigé par M. Ramirez est une machine de guerre déployée contre le Maroc dans un objectif de le diaboliser et de perturber la bonne entente qui règne actuellement entre Rabat et Madrid à la faveur de l'arrivée des socialistes au pouvoir. Pour le moment, sans succès. Lorsqu'elle était aux affaires, la droite a tout fait pour déstabiliser le Royaume dans une série d'opérations dont la plus spectaculaire aura été l'invasion, à grands renforts de matériel de guerre, de l'îlot marocain Leïla. Le lobby anti-marocain, loin de revenir à de meilleurs sentiments envers le pays, continue donc à vouloir diaboliser le Maroc par Ramirez interposé, un homme qui est loin d'être un parangon de vertu. Bien au contraire. Ce personnage a choisi de camper le rôle de maître-chanteur, allant jusqu'à ouvrir les colonnes de son journal à un autre imprécateur du nom de Ali Lmrabet qui a ce défaut de croire qu'il est journaliste, alors qu'il passe le plus clair de son temps à écrire des insanités. Or, Ramirez et sa bande sont acheteurs de tout ce qui peut nuire au Maroc. Manipulable à volonté, ce pauvre Lmrabet est utilisé pour le moment dans cette entreprise douteuse. Mais certainement pas pour longtemps. Le kleenex a une durée de vie limitée.