Alors que la région de Souss-Massa Drâa est en train de prendre sérieusement son envol grâce au lancement récent par S.M le Roi Mohammed VI de divers projets structurants, certains milieux locaux n'ont rien trouvé de mieux que de tenter en sous-main de casser cette dynamique de développement incontestable. Alors que la région de Souss-Massa Drâa est en train de prendre sérieusement son envol grâce au lancement récent par S.M le Roi Mohammed VI de divers projets structurants, certains milieux locaux n'ont rien trouvé de mieux que de tenter en sous-main de casser cette dynamique de développement incontestable. Par voie d'une certaine presse locale, ils ont entrepris, à travers des méthodes ignobles, de salir la réputation de ceux qui ont dédié leur vie et leur énergie à l'essor de cette partie du pays qui ne manque pas d'atouts. Tout y est : attaques personnelles diffamatoires, raccourcis faciles, contre-vérités flagrantes et commentaires réducteurs. Un travail de sape clair. Le tout-Agadir est révulsé par cette campagne de dénigrement nihiliste et de mystification honteuse à rebrousse-poil de la réalité des choses. La réalité, c'est que la région s'est inscrite depuis quelques années dans un grand projet de développement tous azimuts dont le symbole aura été l'organisation en juillet dernier du premier Festival musical d'Agadir du nom de Timitar. Là aussi, les aigris ont essayé en vain de faire capoter, toujours par voie de presse, cet événement qui était une grande réussite de l'avis de tout le monde. Mais ils ont poussé cette fois-ci le bouchon trop loin, en se laissant aller à l'insulte et à la diffamation. En fait, ceux qui sont derrière cette cabale de bas niveau sont connus. Ce sont des gens qui ont fait des mains et des pieds pour jouer les premiers rôles dans la région, en comptant sur l'interventionnisme administratif. Or, cette époque est révolue et leur rancœur vient justement de là. Quand la route leur a été barrée et que les soirées ostentatoirement offertes à certains nouveaux dignitaires du régime se sont avérées improductives, ces mauvais perdants ont commencé à s'agiter pour altérer l'esprit positif qui règne dans les différentes entités régionales du Souss. En effet, c'est la première fois que le Conseil municipal d'Agadir dispose d'un élu dont le profil rompt avec celui de ses prédécesseurs. Quant au Conseil régional, il dispose à sa tête d'une personnalité connue pour son engagement sincère au profit de cette zone. L'un et l'autre, enfants de la région, ont une vision commune pour la tirer vers le haut et consolider sa vocation de pôle économique intégré grâce notamment à la mise en place d'un fonds de développement régional dont le montant peut aller jusqu'à 1,2 milliard de Dhs. Une première au Maroc. Sans oublier les multiples conventions de coopération signées avec certaines régions françaises comme l'Héraut et l'Aquitaine. À cette ouverture sur l'extérieur s'est ajouté le rapprochement important amorcé avec les Iles Canaries en matière économique. En un mot, c'est la première fois que ce territoire s'est doté d'un projet aux contours clairs et s'est appuyé sur des hommes de valeur pour le concrétiser sur le terrain en synergie avec le wali Rachid Filali, un haut cadre à la compétence reconnue. Tout cela n'était pas pour plaire à la coalition des perdants qui misaient sur l'échec de la nouvelle équipe aux commandes. Mais les faits sont là pour démentir toute leur stratégie nourrie de frustration et de hargne.