Mustapha Sbaï, membre de l'Association Al Adl Wal Al Ihssane comparaîtra, aujourd'hui 24 décembre, en état de liberté provisoire, devant la Chambre criminelle près la Cour d'appel de Tanger, poursuivi, selon les dispositions des articles 38 et 41 du dahir de 1958, mis à jour conformément aux modifications introduites par le dahir de 10 avril 1973, pour complicité dans l'atteinte à la dignité de S.M le Roi et de Leurs Altesses Royales les Princes et les Princesses. Mustapha Sbaï, membre de l'Association Al Adl Wal Al Ihssane comparaîtra, aujourd'hui 24 décembre, en état de liberté provisoire, devant la Chambre criminelle près la Cour d'appel de Tanger, poursuivi, selon les dispositions des articles 38 et 41 du dahir de 1958, mis à jour conformément aux modifications introduites par le dahir de 10 avril 1973, pour complicité dans l'atteinte à la dignité de S.M le Roi et de Leurs Altesses Royales les Princes et les Princesses. Les faits de ce dossier, selon des sources proches de l'Association d'Al Adl Wal Ihssane remontent au 3 février 2000, quand Mustapha Sbaï a été arrêté pour avoir distribué le célèbre « Mémorandum à qui de droit » d'Abdeslam Yassine au Roi Mohammed VI. Seulement, il a été libéré, considérant par conséquent l'affaire comme classée. En effet, la réalité est loin de là, puisque le parquet général près la Cour d'appel de Tanger a convoqué Mustapha Sbaï en date du 2 décembre 2002, c'est-à-dire deux ans plus tard pour rouvrir ce dossier et fixer une première audience pour aujourd'hui.