Dans une nouvelle escalade des relations tendues entre Alger et Paris, le gouvernement algérien a expulsé 12 diplomates de l'ambassade de France, ce qui reflète une dégradation sans précédent des relations entre les deux pays. Ce geste étrange n'est qu'une preuve de plus que le régime militaire au pouvoir en Algérie vit dans un état d'isolement et de fermeture, et persiste à adopter une politique de confrontation et d'escalade qui ne sert en aucun cas les intérêts du peuple algérien. Cette décision survient à un moment où il y avait des tentatives de rapprochement et de reconstruction des relations entre l'Algérie et les pays occidentaux. Cependant, il semble que le régime algérien, qui continue de suivre les politiques du passé et exploite un "bilan non historique" comme outil pour rester au pouvoir, ait perdu l'opportunité de surmonter les tensions et de progresser. Au lieu de cela, ce régime continue de bâtir un mur d'hostilité avec ses voisins et des acteurs internationaux influents, à un moment où il aurait dû adopter des politiques de développement centrées sur les intérêts du peuple algérien et la réalisation de la stabilité économique. Le régime militaire algérien, dont l'implication dans de nombreux crimes internes et externes est avérée, n'hésite pas à recourir à des méthodes punitives au lieu d'un dialogue constructif. Si le peuple algérien souffre de la pauvreté, du chômage et de la répression des libertés, la direction algérienne, au lieu de chercher à réformer la situation interne, continue de s'appuyer sur l'hostilité avec les puissances étrangères pour renforcer artificiellement son pouvoir. Le régime algérien ne prend en compte ni les intérêts de son peuple, ni sa quête de stabilité, mais semble utiliser les crises externes simplement comme un moyen de faire passer ses politiques répressives. Finalement, cette escalade injustifiée ne mènera qu'à davantage d'isolement et ne fera qu'aggraver la situation intérieure en Algérie.
