Les créances en souffrance du secteur bancaire poursuivent leur trend haussier, mais à un rythme moins soutenu qu'auparavant. L'évolution du taux des impayés place les entreprises au premier rang avec un montant avoisinant 31 milliards de dirhams sur un total de plus de 55 milliards de dirhams, soit 55,7%. Les ménages s'attribuent le reste avec 22 milliards de dirhams de créances en souffrance. Le ralentissement de croissance des créances en souffrance s'explique largement par la réticence des banques dans l'octroi des crédits à l'économie.