La propagande du mouvement "séparatiste de l'intérieur" incite au désordre et l'instabilité dans les villes sahariennes. Après que Rabat ait proposé le projet d'autonomie comme étant une solution politique et consensuelle au problème du Sahara, des organisations séparatistes basées à Lâayoune et reliées au mouvement des "séparatistes de l'intérieur" ont distribués aux habitant des villes des provinces sahariennes des tracts hostiles à l'état marocain et au projet d'autonomie appelant tout les saharaouis à une "intifada générale" contre le projet des autorités marocaines et réclamant l'indépendance; en gloire à la RASD et au front du Polisario le tout est accompagné de versets coraniques qui appellent à s'apprêter au Jihad contre "le Maroc ennemi". Cette propagande belliqueuse dictée par les dirigeants du Polisario intervient en une période critique où la situation au Sahara tourne en faveur du Maroc, elle vise à inciter les jeunes saharaouis des provinces du sud à se révolter contre le projet d'autonomie et d'influencer malhonnêtement leurs opinions personnelles, surtout que des personnes connues par leurs fortes relations avec les mercenaires du polisario ont leur été transmises "les ordres" à suivre à la lettre grâce à des moyens particuliers. Ajoutons que ces mouvements projettent de réaliser deux objectifs principaux, le premier vise à semer la zizanie dans plusieurs villes du Sahara grâce aux distributions de tracts propagandistes incitant à "prendre le sentier de la résistance contre l'autonomie", cet objectif vise aussi à préparer les festivités célébrant le 31ème anniversaire de la déclaration de la république saharaoui chimérique. Ces cellule séparatistes ont pris l'habitude d'agir d'une manière officielle dans des quartiers comme "Maâtallah" et "Linâach" situées au centre de la ville de laâyoune, et d'autres quartier comme Lhay lhajari le centre d'activités de propagande de la "militante" Aminatou Haidar. Un réseau de renseignement proche du chef du Polisario Mohamed Abdelaziz, s'active près des villes du sud et qui contrôlent directement les activités de ces "séparatistes de l'intérieur". Ajoutons que trois peronnes de ce groupe ont été chargées du soutien financier et ont été répartis entre la Mauritanie, l'Algérie et les Îles Canaries.