Qu'il ait à ce point cédé aux raisons de son cœur et à sa passion, au bas de son pantalon et abandonné l'éthique qui sied à son statut – violant toute objectivité – et les lois de la République française, ne saurait expliquer sa haine manifeste du Royaume du Maroc. Le maire de l'île Saint-Denis, à Paris, Mohamed Gnabaly de son état, « élu parisien » et membre du parti vert, des écologistes de Marine Tondellier, a choisi le mensonge et la lâcheté contre le courage. Disons la malhonnêteté contre le devoir de réserve. L'affaire qui secoue les milieux politiques et les réseaux sociaux en France et dans le monde, concernant l'aveugle décision qu'il a prise, contre toute morale, est à proprement parler un scandale, une ahurissante violation du droit. On comprend bien, que marié à une citoyenne algérienne, cédant à son extrême pouvoir sur lui, à l'infernale subjugation qu'elle exerce sur lui – bien sûr inspirée d'une irascible haine envers le Maroc – , il exécute et s'exécute. Colonisé qu'il est dans sa tête et perverti dans son âme, il a attendu que l'Ambassadrice du Maroc, Mme Samira Sitail ait à peine fini son discours de remerciements aux hôtes et au public nombreux venu participer à la Journée du Maroc, pour faire son « numéro », digne d'un dérisoire et malencontreux fantassin et d'un procès en sorcellerie. Il a interrompu le spectacle marocain, et violé tout ce qui peut relever de la liberté dans un pays démocratique, la France des droits de l'Homme, la France des libertés, de l'égalité et de la fraternité , celle des valeurs. Le parti pris scandaleux de cette France de gauche franchouillarde, nous le connaissons pour l'avoir fréquenté, avec ses alignements et ses automatismes, ses lectures sommaires, ses petites lâchetés et ses trahisons de faux clercs... Ce « Maire » de Saint-Denis, quartier exemplaire, celui du peuple et de l'immigration bigarrée est une honte pour la gauche, pour les élus qu'ils l'ont hissé à ce statut...indigne de lui... Une médiocratie rampante... Le Maire de Saint-Denis est ce qu'on peut qualifier d'un déshonneur intégral, qui n'a aucune conscience et aucun respect pour la finalité de la mission pour laquelle les citoyens de Saint-Denis – dont beaucoup de Marocains – l'ont élu, croyant l'élever à une statue de digne au-dessus des impérities et des calaculs. Aux dirigeants de son parti, à tous ceux qui le soutiennent, aux services algériens qui lui font la courte échelle tout simplement pour qu'il assume son rôle de stipendié contre le Royaume du Maroc – sans nul succès d'ailleurs – nous disons : votre hargne est désespérée parce que le Maroc ne se laissera jamais déposséder de sa cause et de la finalité de son combat et de sa raison d'être : défendre sa souveraineté.