À quelques heures de l'Aïd Al-Adha, la plupart des gares routières du Maroc sont plongées dans le désordre, avec des tarifs de transport en hausse et une offre insuffisante. Cependant, les voyageurs font face à des augmentations de prix injustifiées et à un manque de supervision des autorités, créant une atmosphère de tension et d'incertitude. Un jour avant l'Aïd Al-Adha, les gares routières des grandes villes marocaines sont plongées dans le chaos, confrontées à des hausses de prix et à une pénurie de transport. À Marrakech, Inezgane, Casablanca, Tanger et Kénitra, les voyageurs sont confrontés à un véritable chaos tarifaire, avec des billets dont le prix a doublé sans qu'aucune intervention des autorités responsables ne soit constatée. Les propriétaires de bus et de taxis ont saisi l'occasion de l'Aïd Al-Adha pour exploiter les voyageurs, notamment à la gare d'Inezgane, où de nombreux voyageurs ont été pris au dépourvu par une augmentation drastique des tarifs, sans justification raisonnable. Cependant, cette situation laisse les citoyens désarmés dans les gares routières, transformées en zones de tensions oùl'extorsion semble prévaloir. De plus, les voyageurs se retrouvent sans protection adéquate, confrontés à des pratiques tarifaires abusives qui aggravent encore leur stress et leurs difficultés pendant cette période de fête de l'Aïd Al-Adha.