« Se faire espionner par le Maroc, franchement c'est la honte totale ! Que l'on se fasse espionner par la Russie, par la Chine ou par les USA passe encore, mais se faire surveiller sournoisement par un tout petit pays du Maghreb alors là ! Un pays, rappelons-le, musulman ! Avec le chef de la dynastie alaouite au pouvoir !! Comme la famille el-Assad, qui dirige la Syrie depuis 1970 !!! A ce rythme-là, on va bientôt se faire espionner par le Ghana ou le Togo. » C'est l'extrait d'un billet qui sue la haine pour le Maroc, publié sur Mediapart mais qu'ils se sont empressé de supprimer ! C'est dire que ledit support a fait de l'attaque au Maroc sa nouvelle ligne éditoriale et s'est donné comme mission de porter atteinte au Royaume en l'avilissant. Un lynchage médiatique qui ne dit pas son nom est lancé contre le pays comme un mécanisme qui ne s'arrête pas mais qui ne tardera pas de retomber tel un soufflé. Capture Mediapart Il n'y a qu'à feuilleter Le Monde bien connu pour sa position contre le Maroc et le Mediapart pour comprendre l'agressive et la vile campagne médiatique que subit le Maroc depuis quelques semaines. Mais le signataire de ce texte en plus du ridicule dont il se couvre met en exergue involontairement le manque voire l'absence de la cybersécurité dans sa République « chérie ». Admettons que le Maroc ait pu espionner les téléphones du Président Macron et de plusieurs personnalités françaises, cela ne veut-il pas dire que les services secrets français ont failli à leur mission dans ce cas ? Le comble du ridicule est que « potentiellement, on peut avoir un mouchard dans la chambre à coucher du Président » !!! C'est à se demander quelle serait la mission des services de sécurité ou celle des services de contre-espionnage !! Et puis pour quelle raison le Maroc espionnerait-il un pays ami ? Et puisqu'on en parle quelle est la source de cette prétendue liste des cibles potentielles dont on parle? Qui l'a établie? Quand? Selon quels critères? A qui profite ce stratagème impur et putrescent et cette désinformation LIRE AUSSI : NSO Group réagit : Ça suffit comme ça , trop c'est trop Les allégations et les mensonges de ces journaux œuvrant pour des enjeux et des intérêts bien précis est la preuve que le Maroc commence à déranger. Le Royaume est ainsi dans le viseur de certains haineux qui se nourrissent de critiques, d'accusations infondées et d'une campagne médiatique mensongère, massive et malveillante. Ce Maroc qui dérange Le timing de ce buzz ou plutôt de ce lynchage médiatique hors pair mis en scène par une certaine presse française connue par son hostilité pour le Maroc et orchestrée par des parties en mal de maturité politique n'est pas fortuit. Accuser le Maroc d'avoir infiltré les téléphones de personnalités publiques marocaines et étrangères, via le logiciel espion Pegasus est l'image même de l'absurdité mais surtout de la mauvaise foi et de cette avidité malsaine d'incriminer le Royaume. Depuis la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et puis par la suite la normalisation des relations avec Israël, certains pays ne décolèrent pas et le Royaume est visé par tous les actes déstabilisateurs qui soient pour lesquels pegasus n'est qu'un subterfuge. Faut-il rappeler que ces derniers mois étaient rythmés par des tensions et des crises diplomatiques avec l'Allemagne, l'Espagne, l'Algérie et maintenant la France avec cette présumée affaire d'espionnage ? L'évidence est criante : déstabiliser le Maroc qui gêne apparemment plusieurs pays via des organisations internationales et des supports qui sous prétexte d'une défense des droits de l'homme à géométrie variable font tout pour nuire à la stabilité du Maroc. C'est d'ailleurs l'avis du sénateur Christian Cambon qui le dit haut et fort : « le Maroc fait l'objet de campagnes de presse de dénigrement avec pour objectif de le déstabiliser » tout en soulignant que « les instigateurs de ces campagnes médiatiques de dénigrement cherchent avant tout à ternir l'image du Maroc ». Le président du groupe d'amitié France-Maroc affirme sa solidarité au Royaume qui fait l'objet d'accusations graves. Bernard Squarcini, l'ancien patron de la DST et de la DGSI, estime qu'il est « trop facile » d'accuser le Maroc d'avoir infiltré les téléphones de plusieurs personnalités publiques marocaines et étrangères, via un logiciel espion Pegasus du groupe israélien NSO. Mais on ne peut accuser sans donner de preuves. Assurément, la réussite du Maroc dérange les voisins qui voient s'accentuer ainsi leurs échecs et ravive leur jalousie morbide qui va jusqu'à monter de toutes pièces une affaire d'écoute. Bizarrement, les voisins n'ont jamais intéressé la presse française ou suscité des investigations bien qu'il y ait matière à dire et à explorer.