Par un citoyen marocain préoccupé Nous avons reçu le texte que nous publions ci-dessous d'un citoyen excédé par le jeu de mensonges et de manipulations de l'AMDH ( Association marocaine des droits de l'Homme). Il y dénonce notamment son pseudo soutien au violeur présumé de Adam, en détention provisoire et intitule son plaidoyer : « J'accuse » ! J'accuse le collectif d'associations d'extrême-gauche d'avoir signé un appel dénonçant l'arrestation du présumé violeur, Soulaiman Raissouni et ce, dans le seul but d'instrumentaliser cette affaire sordide et de bafouer les droits de la victime, Adam Mohamed. J'accuse l'Association Marocaine des Droits de l'Homme d'avoir pris parti pour le présumé violeur, en prônant un discours saturé de préjugés à l'encontre de la victime et ne respectant nullement les procédures judiciaires en cours. J'accuse les responsables de cette association de politiser cette affaire de viol, en s'entêtant à vouloir faire pression sur la justice et accuser l'état de tous les maux, afin de susciter la fausse empathie des ONG internationales et de la presse mondiale. J'accuse Les organisateurs de la visioconférence organisée, dans la soirée du jeudi 04 juin 2020, de promouvoir la culture du viol et la maltraitance à l'encontre des jeunes homosexuels au Maroc. J'accuse le directoire de l'AMDH d'exercer les pleins pouvoirs et le totalitarisme au sein d'une organisation supposée défendre les intérêts des citoyens impactés par les violations humanitaires. J'accuse Reporter Sans Frontières de vouloir faire dans le sensationnalisme et de défendre l'indéfendable, en prenant position pour un présumé violeur, à travers des propos homophobes et diffamatoires. J'accuse, finalement, le gouvernement en place et particulièrement le PJD, de laisser planer le doute concernant ses véritables intentions, en permettant à certaines de ses brebis galeuses, à l'image de l'avocat islamiste, Abdelmoula Al-Marouri, de prôner un discours scandaleux, dans lequel il remet en cause le droit accordé à la victime homosexuelle de porter plainte. Pour paraphraser Emile Zola, j'aimerai ajouter que « ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme »... il est aujourd'hui temps de débarrasser le pays de ces pseudos-défenseurs des droits humains qui ne sont, dans les faits, que des esprits de « malfaisance sociale », ne ratant aucune occasion de surfer sur chaque fait divers, dans l'optique de l'instrumentaliser, le politiser et s'enrichir, ainsi, sur le dos des véritables victimes.