Le magazine mensuel «El-Kalima», paraissant à Londres, a consacré dans son édition de janvier 2011 (n 45), un dossier spécial à l'écrivain marocain feu Edmond Amran El Maleh. Dans ce spécial intitulé «feu Edmond Amran El Maleh, un écrivain hors pair», le critique marocain Abdelhak Mifrani a souligné qu'El Maleh a reflété sa spécificité dans ses écrits, ses positions et ses opinions qui traduisent l'originalité du défunt. Le magazine relève que le journal britannique «The Independent» a assimilé le défunt au grand romancier irlandais James Joyce, rappelant l'engagement d'Edmond Amran El Maleh, un défenseur résolu de la cause palestinienne, qui a également enrichi la culture marocaine par ses écrits et a toujours milité pour la défense des causes justes. Parmi ses nombreuses oeuvres figurent «Parcours immobile» (1980), «Ailen ou la nuit du récit» (1983), «Mille ans, un jour» (1986), «Jean Genet, le captif amoureux et autres essais» (1988), «une femme, une mère» (2004), ou encore son dernier ouvrage «Lettres à moi-même»