À titre de reconnaissance et de consécration, l'artiste peintre Abdel-Ilah Chahidi accède avec brio et mérite au titre honorifique de « chevalier académicien » ( siège n 48) à la Mondial Art Académia dont l'ambassadeur accrédité au Maroc est l'artiste Sidi Mohammed Mansouri Idrissi: « nous vous félicitons pour l'excellence de votre travail et pour votre parcours artistique. Nous irons ensemble vers un parcours évolutif afin de défendre votre art », écrit conjointement le plasticien de renommé mondiale Pierrick Here, président, et Martine Vallée, co-présidente du dit organisme. Le comité de sélection a nommé et retenu l'artiste peintre Abdel-Ilah Chahidi pour la qualité de son travail et pour son dévouement à l'art pictural d'ordre fantastique : « Nous sommes très sélectifs, un artiste se doit selon nous, de représenter son pays dans la dignité. Il y a en art moderne, une grande quantité d'artistes, on peut les féliciter pour leur travail et moyen d'expression, néanmoins la qualité n'est pas toujours au rendez-vous. En ce qui me concerne, je préfère le grand art, la technicité, la recherche d'harmonie à la provocation, sans pour autant défendre un schéma standardisé. Les titres chevaleresques historiquement existent principalement depuis le moyen-âge, pour valoriser et récompenser les artistes, les artisans ayant contribué par leur art, à la grandeur de la France. Ils recevaient un titre chevaleresque, chevalier, officier, commandeur etc... en fonction de leurs parcours professionnel, représentant des années de travail. Napoléon a repris les mêmes concepts pour récompenser les militaires méritants en instaurant la légion d'honneur. Les autres titres chevaleresques, mettent en exergue la culture, les arts, le dévouement. Les hôpitaux, la Croix Rouge, et nous-mêmes rentrons dans ce cadre. », précise Pierrick Here. Et d'ajouter : « Notre académie est jeune, nous existons depuis un an. Néanmoins, nous avons constitué un panel d›artistes de très grande qualité dans différents pays du monde (France, Maroc, USA, Mexique, Brésil, Canada, Lituanie, Belgique, Pays-Bas, Suisse, etc...). Nous exposons nos artistes académiciens dans des Salons Internationaux. Nous venons de terminer « Creativ'art » à Toulouse, salon d'art contemporain regroupant 125 stands. Fin septembre 2014, nous serons à Bordeaux au « Salon ART 3G », grand salon réservé uniquement aux galeries, puis en octobre 2014, au Carrousel du Louvre à Paris au Salon « Art Shopping ».Nous avons répertoriés nos artistes, dans un livre de luxe comprenant 200 pages « Académiciens 2014 », où chaque artiste est mentionné avec photo d'une ou deux œuvres, ainsi que les coordonnées et site internet de l'artiste pour servir d'outil de travail. En juin 2015, Mondial Art Academia, aura son propre salon réservé uniquement à ses membres. Notre participation à d'autres salons sera également mise en place au cours de l'année 2015. Notre enjeu qualitatif : L'excellence et le partage, rendre un hommage tout particulier à ceux et celles, sans qui la liberté d'expression serait un vain mot. Remercier et mettre à l'avant-scène tous les artistes qui s'investissent dans leur art avec sincérité et qui deviennent en quelque sorte des « distributeurs de liberté », des témoins de leur temps ». Il est à rappeler que la nouvelle galerie casablancaise « Chilham » (205, Bd Mostapha El Maani) a inauguré dernièrement son cycle des événements artistiques et culturels par l'exposition individuelle de l'artiste plasticien Abdel-Ilah Chahidi. Placée sous le signe « femme, femme, femme », cette exposition a illustré si bien les facettes les plus représentatives de sa peinture onirique qui s›inscrit dans une actualité intemporelle. Sur son acte pictural, Abderrahman Benhamza (poète et critique d'art) a écrit : « L'œuvre de Chahidi se donne ainsi comme une suite d'essais portés par la même passion, essais d'une vaste entreprise de découvertes et de démystification (au sens de dévoilement). Démystification d'une femme particulièrement présente, inspiratrice majeure, à la fois fuyante et métamorphique - ce qui est un de ses attributs symboliques - ; surtout démystification de sa genèse : femme apparemment surgie d'un conglomérat de matières liquides, minérales, végétales, d'étranges sédimentations amorphes qui restent toutes emblématiques, auxquels l'artiste insuffle vie et sens. Ce qui nous vaut cette panoplie de figures et d'attitudes pleines d'énergies fantastiques, ces couleurs rares qui chatoient, innervées d'ondes lumineuses, irradiantes, ces rapprochements surréalisants de contrastes, « conflits de matières » comme les qualifie Chahidi. De sorte que certains tableaux vus le jour voient leur aspect complètement transformé la nuit, affichant de nouvelles gammes encore plus denses. Spectacle d'alchimiste, mu par une technique dont seul l'artiste connaît le fin mot. ».