Chez les femmes, le système immunitaire vieillit moins vite que chez les hommes, ce qui contribuerait ainsi à les rendre moins vulnérables aux maladies dans les âges avancés de la vie. Pour les chercheurs japonais à l'origine de cette découverte, cette différence expliquerait pourquoi l'espérance de vie de la gent féminine surpasse celle de leurs homologues masculins. Selon l'OMS, les femmes vivent six à huit ans de plus que les hommes. Les scientifiques supposent que les hormones sexuelles pourraient y jouer un rôle. Les auteurs pensent même se servir de ces paramètres sanguins pour estimer l'âge biologique réel d'une personne. D'ailleurs, plusieurs études vont vers cette thèse : les œstrogènes, famille d'hormones sexuelles féminines, pourraient protéger des maladies cardiovasculaires qui comptent parmi les principales causes de mortalité. Ce qui fait les femmes vivent plus longtemps. Une canette de soda de 336 ml par jour augmenterait les risques de diabète de 20 % D'après une étude menée à l'échelle de huit pays européens par le consortium InterAct, étalée sur 16 ans, la consommation quotidienne de sodas et autres boissons sucrées est associée à une augmentation d'environ 20 % du risque de déclarer un diabète de type 2( insulinorésistant ). Une maladie chronique que l'on n'a pas encore les moyens de guérir et qui nécessite la prise de traitements à vie. Des résultats compatibles avec ceux des études américaines. Tout est passé au crible fin : régime alimentaire y compris la consommation quotidienne de sodas ou autres boissons sucrées, ainsi que de jus de fruits et mêmes les boissons light. Les jus de fruits nturels sans ajout de sucre semblent sans danger de ce côté. Mais, il s'avère que les buveurs réguliers présentent plus de risques de contracter la maladie que le reste de la population. Si l'obésité s'ajoute, bonjour les dégâts. Alors prudence quant à la consommation de boissons sucrées sur la santé. Connaître ses besoins quotidiens en fer Ayant pour fonction le transport de l'oxygène dans le sang et la formation des globules rouges, le fer est très important pour notre organisme. Selon l'OMS, 25% de la population mondiale manquerait de fer, d'où l'anémie, une maladie à prendre au sérieux. Les besoins quotidiens en fer sont pour les bébés de 0-6 mois = 0,27 mg, de 7-12 mois= 11 mg et de 1-3 ans = 7 mg. Pour les enfants de 4-8 ans, elle est égale à 10 mg, les garçons/filles de 9-13 ans = 8 mg, les garçons de 14-18 ans = 11 mg et les filles de 14-18 ans = 15 mg. Pour ce qui est des femmes de 19-50 ans = 18 mg, les femmes de 50 ans et plus = 8 mg, les femmes enceintes = 27 mg. Les hommes dont l'âge varie de 19 à 50 ans, le besoin quotidien est de 8 mg et les hommes de 50 ans et plus = 8 mg. Attention à la consommation accrue du sel ! Ne dit-on pas qu'il est bon d'être prudent quant à la consommation des trois substances blanches : le sucre, la farine et le sel. Si le sel relève la saveur des plats, autant savoir qu'il est nocif pour la santé. Il fait perdre l'élasticité des tissus internes, ce qui peut causer de l'hypertension artérielle, augmentant ainsi le risque d'accidents cardio-vasculaires. Il provoque la rétention d'eau, ce qui aggrave l'apparition de cellulite et accélère le vieillissement cutané. L'Organisation Mondiale de la Santé conseille de ne pas dépasser 5 g de sel par jour. Dix astuces permettent de moins saler les plats. Avant d'acheter tout produit, la première initiative est de lire les étiquettes. Tout comme le sucre, le sel se cache dans des produits qu'on ne soupçonne pas forcément ! L'autre astuce c'est de bouder les produits industrialisés et les plats cuisinés vendus en supermarchés, ils contiennent plus de sel. Evitez aussi de consommer trop de fromages, les charcuteries, le pain, les céréales, les biscuits, les potages en sachet et les vinaigrettes en bouteille. Et le plus important, c'est de ne pas mettre sur table la salière et de toujours relever la saveur des plats par des herbes aromatisées telles que la menthe, la marjolaine, l'origan...Et aussi avec les épices comme le curcuma, le cumin, le gingembre et la cannelle. Pour ce qui est du sel diététique, il est conseillé. Outre sa teneur en sels minéraux (1/3 de chlorure de sodium et 2/3 de chlorure de potassium), il ne provoque pas de rétention d'eau et a même un pouvoir diurétique. Le gomasio, originaire du Japon, est fait de sel marin et de sésame grillé et il contient parfois des algues. Sa teneur en sel est très basse (à peine 10 %) et son goût est agréable. Seul inconvénient : il ne se cuit pas. Il peut donc être utilisé dans les salades et les vinaigrettes. Quant à l'algue noire, un produit importé du Japon, il est employé dans la confection des sushis. Saupoudrée sur les repas, cette algue confère une saveur légèrement iodée. Le sel fou est un mélange d'épices et d'aromates qui vient de l'île de Ré. Il est savoureux et a une très faible teneur en sel. Parmi ses constituants on retrouve du poivre gris, rouge et blanc, de la coriandre, des baies roses, du thym et du romarin.