Les études archéologiques attestent la présence de l'être humain à Taza depuis l'ère de la préhistoire, nombre de dynasties et civilisations se sont succédé sur cette ville, engendrant ainsi des témoignages probants des savants religieux et ulémas Tazi anciens qui ont érigé nos bibliothèques d'ouvrages de différentes disciplines. Ceci d'une part, d'autre part un problème de taille nous exige réponse et explication. Qui a allumé les braises à Taza ? Qui a voulu déposséder la mère Taza de ses enfants, Ras Elmas, les Grottes Friouato, Tazeka, Bab Boudir et autres descendants ? Qui a voulu commettre cet infanticide ? Complot de tentative de meurtre en série partagé entre presse bipartite écrite et audiovisuelle et des jeunes diplômés en chômage manipulés. Notant que la simple rime de dénomination des deux villes Taza avec sa cœur Ghaza ne donne guère raison de les assembler sous le même verdict puisque les données différent. Il faut reconnaître le rôle de l'autorité locale de la ville de Taza assistée par les forces de l'ordre qui a ont fait de leur mieux pour étendre les braises et avorter la tentative de l'infanticide susmentionné. La fébrilité des jeunes diplômés en chômage en quête de travail et victimes de désoeuvrement ont souillé l'image de cette ville ancestrale. Certes, le chômage est un phénomène mondial qui porte en soi des variantes régionales que l'encouragement de l'investissement, lui seul, avec les moyens propres à l'identité de cette ville pourra donner occasion à créer des possibilités d'emploi à nos jeunes en quête perpétuelle de travail surtout que la région de Taza dispose d'un potentiel naturel exorbitant, riche et varié, fertile à être exploité de manière à rendre la ville de Taza un pôle touristique excellent et attrayant.