L'armée d'occupation israélienne continue de perpétrer ses massacres au 142ème jour de son agression contre le peuple palestinien, dont les plus importants ont eu lieu dans les villes de Khan Yunis et de Gaza, qui ont fait plusieurs morts et blessés. Des dizaines de Palestiniens, dont des enfants et des femmes, ont été tués et blessés à la suite de nouveaux bombardements de l'artillerie israélienne sur les zones occidentales de la ville de Khan Yunis et sur le quartier d'Al-Sabra dans la ville de Gaza. Une personne a également été tuée et d'autres ont été blessées lors d'un raid israélien visant une maison dans le quartier d'Al-Shaaf, à l'est de la ville de Gaza, coïncidant avec des tirs de drones d'occupation et des bombardements d'artillerie sur les quartiers est de la ville. Le quartier d'Al-Zaytoun, au sud de la ville de Gaza, a été le théâtre de violents affrontements et d'explosions ont été entendues. L'aviation de guerre israélienne a ciblé un rassemblement de civils dans le camp de Beach, à l'ouest de Gaza, tuant deux personnes et en blessant grièvement quatre autres. Le nombre de morts suite à cette agression brutale s'est élevé à plus de 29.606, en plus de plus de 69.737 autres blessés divers, selon les derniers chiffres publiés par le ministère de la Santé de Gaza. Le ministère de la Santé a confirmé qu'il y a un demi-million de Palestiniens dans le nord de la bande de Gaza qui souffrent d'une famine qui tue silencieusement leur vie. Une aide humanitaire au compte-gouttes Le ministère a déclaré que l'occupation israélienne place les habitants de la bande de Gaza dans un triangle de mort représenté par les attaques, la famine et les épidémies, expliquant que la poursuite de l'agression contre Gaza signifie davantage de génocide, et s'inscrit dans l'objectif que veulent Israël et ses alliés. La population de la bande de Gaza s'expose à une catastrophe humanitaire sans précédent, à la lumière de l'agression continue et des bombardements violents et aveugles, au milieu du déplacement interne de plus de 1,9 million de personnes vers des camps et des centres d'hébergement insuffisamment équipés. La situation humanitaire ne cesse d'empirer dans la bande de Gaza assiégée où 2,2 millions de personnes, soit l'immense majorité de la population, sont menacées d'une "famine de masse", selon l'ONU. L'aide qui entre au compte-gouttes par le terminal de Rafah à l'extrême sud de Gaza, est soumise à un blocus d'Israël et son acheminement vers le nord est presque impossible en raison des destructions et des combats. Abou Gibril, un agriculteur palestinien qui s'est réfugié avec sa famille à Jabaliya (nord) après que l'agression israélienne lui ait tout pris en détruisant sa maison et ses champs à Beit Hanoun, dans l'extrême nord de la bande de Gaza a dû se résoudre à abattre ses deux chevaux de trait pour nourrir sa famille et ses voisins. L'armée d'occupation israélienne continue de perpétrer ses massacres au 142ème jour de son agression contre le peuple palestinien, dont les plus importants ont eu lieu dans les villes de Khan Yunis et de Gaza, qui ont fait plusieurs morts et blessés. Des dizaines de Palestiniens, dont des enfants et des femmes, ont été tués et blessés à la suite de nouveaux bombardements de l'artillerie israélienne sur les zones occidentales de la ville de Khan Yunis et sur le quartier d'Al-Sabra dans la ville de Gaza. Une personne a également été tuée et d'autres ont été blessées lors d'un raid israélien visant une maison dans le quartier d'Al-Shaaf, à l'est de la ville de Gaza, coïncidant avec des tirs de drones d'occupation et des bombardements d'artillerie sur les quartiers est de la ville. Le quartier d'Al-Zaytoun, au sud de la ville de Gaza, a été le théâtre de violents affrontements et d'explosions ont été entendues. L'aviation de guerre israélienne a ciblé un rassemblement de civils dans le camp de Beach, à l'ouest de Gaza, tuant deux personnes et en blessant grièvement quatre autres. Le nombre de morts suite à cette agression brutale s'est élevé à plus de 29.606, en plus de plus de 69.737 autres blessés divers, selon les derniers chiffres publiés par le ministère de la Santé de Gaza. Le ministère de la Santé a confirmé qu'il y a un demi-million de Palestiniens dans le nord de la bande de Gaza qui souffrent d'une famine qui tue silencieusement leur vie.
Une aide humanitaire au compte-gouttes
Le ministère a déclaré que l'occupation israélienne place les habitants de la bande de Gaza dans un triangle de mort représenté par les attaques, la famine et les épidémies, expliquant que la poursuite de l'agression contre Gaza signifie davantage de génocide, et s'inscrit dans l'objectif que veulent Israël et ses alliés. La population de la bande de Gaza s'expose à une catastrophe humanitaire sans précédent, à la lumière de l'agression continue et des bombardements violents et aveugles, au milieu du déplacement interne de plus de 1,9 million de personnes vers des camps et des centres d'hébergement insuffisamment équipés. La situation humanitaire ne cesse d'empirer dans la bande de Gaza assiégée où 2,2 millions de personnes, soit l'immense majorité de la population, sont menacées d'une "famine de masse", selon l'ONU. L'aide qui entre au compte-gouttes par le terminal de Rafah à l'extrême sud de Gaza, est soumise à un blocus d'Israël et son acheminement vers le nord est presque impossible en raison des destructions et des combats. Abou Gibril, un agriculteur palestinien qui s'est réfugié avec sa famille à Jabaliya (nord) après que l'agression israélienne lui ait tout pris en détruisant sa maison et ses champs à Beit Hanoun, dans l'extrême nord de la bande de Gaza a dû se résoudre à abattre ses deux chevaux de trait pour nourrir sa famille et ses voisins. Netanyahu présentera au Cabinet de guerre les "plans opérationnels" concernant Rafah Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré, samedi, que le Cabinet de guerre israélien devrait approuver, en début de semaine prochaine, les "plans opérationnels" relatifs à Rafah, une ville du sud de la Bande de Gaza qui accueille plus d'un million de Palestiniens déplacés. "Je réunirai le Cabinet de guerre en début de semaine, pour approuver les plans opérationnels relatifs à Rafah, y compris l'évacuation des résidents civils", a déclaré Netanyahu lors d'une conférence de presse. Les menaces israéliennes de lancer une opération au sol à Rafah, près de la frontière égyptienne, se multiplient depuis des semaines, malgré les mises en garde régionales et internationales contre les potentielles conséquences catastrophiques de cette opération. "Nous nous efforçons de trouver un autre cadre pour la libération de nos prisonniers, ainsi que pour la finalisation de l'élimination des bataillons du Hamas à Rafah", a ajouté Netanyahu, en référence au mouvement de résistance palestinien basé dans la Bande de Gaza. "C'est pourquoi j'ai envoyé une délégation à Paris et ce soir nous discuterons des prochaines étapes des négociations", a-t-il poursuivi. Les pourparlers en vue d'un échange de prisonniers entre Israël et le Hamas ont débuté vendredi à Paris, avec la participation d'une délégation israélienne dirigée par le chef du Mossad, David Barnea. Le directeur de la CIA, William Burns, le premier ministre qatari, Mohammed bin Abdulrahman Al Thani, et le chef des services de renseignements égyptiens, Abbas Kamel, ont également pris part à ces discussions.