Ce rapport montre ainsi que le Maroc n'exerce aucune ingérence dans les affaires intérieures de l'Espagne. Par contre le contrespionnage espagnol a montré qu'il y avait des actions malveillantes de la part de la Chine et de la Russie. Le constat est sans appel et en tout cas ne va pas dans le sens des extrêmes de droite comme de gauche qui auraient été comblés si le rapport espagnol avait confirmé leurs accusations contre le Maroc qui aurait, selon eux, espionné le téléphone du président du gouvernement Pedro Sanchez, ainsi que ceux des ministres de la Défense, Margarita Robles, et de l'Intérieur, Fernando Grande Marlaska.