Après sa censure à Tunis puis à Tanger pour « personnification d'une divinité religieuse », le film Persepolis des Bédéistes français Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi s'est vu diffusé à Rabat par un groupe de jeunes de l'AMDH, samedi, lors de leur Club ciné. « Il est inconcevable d'interdire un film artistique, car il ne [...] Après sa censure à Tunis puis à Tanger pour « personnification d'une divinité religieuse », le film Persepolis des Bédéistes français Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi s'est vu diffusé à Rabat par un groupe de jeunes de l'AMDH, samedi, lors de leur Club ciné. « Il est inconcevable d'interdire un film artistique, car il ne rejoint pas les idéologies politiques et religieuses d'un pays ou à cause de certains esprits rocailleux et obscurantistes », a affirmé l'une des personnes ayant assisté à la projection du film. * Tweet * * *