Considéré comme l'un des endroits les plus prisés par les expatriés, le quartier résidentiel C.I.L. est réputé pour son calme et sa vie de quartier. Loin du bruit et des embouteillages des rues principales de la capitale économique, dans un environnement calme et à moins de 10 minutes du centre-ville, le quartier résidentiel C.I.L reste parmi les endroits les plus recherchés et les plus prisés par les expatriés. Pour Moncef Lahlou, gérant de Capital foncier, «le quartier résidentiel CIL est très prisé par les Européens, essentiellement pour sa vie de quartier». Fort de son architecture contemporaine et raffinée, le quartier est meublé de belles villas blanches et spacieuses, entourées de vastes jardins verdoyants. «Ici, la vie est plutôt calme, mais les prix y sont très chers. Traditionnellement prisé par les expatriés français, allemands et anglais, ce sont aujourd'hui les Marocains qui cherchent de plus en plus à s'y installer», nous fait savoir Driss, 53 ans, gardien de voitures. Le C.I.L. est proche des commerces de quartier, de restaurants chics, de succursales de banques, de super-marchés et d'écoles très anciennes, à l'instar de l'école française Georges Bizet ou encore La Bibliothèque Saint-Dominique, fondée en 1985. «Le quartier a connu beaucoup de changements au cours de ces dernières années», témoigne Latifa, une habitante du quartier depuis 1973.«A l'époque, le C.I.L était surnommé le «quartier européen», car il comptait un nombre important d'habitants d'origine étrangère, c'était un quartier très paisible qui avait beaucoup de charme», se souvient-elle avec une note de nostalgie. «Malheureusement, on y trouve aujourd'hui beaucoup de commerces et trop de bars. C'est la raison pour laquelle il est devenu bruyant et moins sécurisé, de nuit comme jour», déplore-t-elle. Le C.I.L a été construit sous l'administration française par le groupe immobilier Centre Immobilier Longchamp, une entreprise familiale créée en 1967, d'où les initiales C.I.L. En termes de prix ,«le C.I.L. est plus cher que l'Oasis pour les villas. Le prix du mètre carré se situe autour de 18 000 et 20 000 DH. Pour les terrains, le prix du mètre carré se négocie entre 10 000 et 15 000 DH», dévoile le gérant de Capital foncier. Actuellement, de nombreux bureaux professionnels commencent à s'implanter dans ce quartier et le prix du mètre carré pour cette catégorie se situe entre 22 000 et 23 000 DH, nous fait encore savoir l'agent immobilier. réponse @ racalmilgo, ce que vous avez dis est vrai, mais c'est le cas dans toutes les villes et tous les plus beaux quartiers du monde, à new york par exemple en retrouve des quartiers vraiment up, mais tout prêt on retrouve des SDF alcooliques entrain de se réchauffer autour d'un tonneau en fer qui brule, les rêves n'existeraient pas si il n'y avait pas les cauchemars!! une information à corriger, il y a un seul et unique bar au C.I.L, le longchamp. intéressant votre article sur le C.I.L. Malheureusement votre témoin a raison de dire qu'il soit devenu brouillant depuis que des commerces s'y soient développés quelque peu anarchiquement. SITA devrait du reste prendre soin de ce quartier soit disant résidentiel. D'autres part une souika pas très loin de la commune déborde de déchets de toutes sortes et l'accès routier y est étroit et chaotique, des nids de poules ou plutôt des cratères en guise de chemin d'accès à un bidonville du plus bel effet.Des squattes sans vergogne d'un terrain mitoyen à la commune est occupé depuis quelques années sans le moindre infrastructures d'hygiène.vos photos sont bien jolies mais ne reflètent pas la réalité.