Les dés sont jetés à l'UMT. Miloudi Moukharik en est officiellement le nouveau patron. Une élection qui s'est effectuée, à en croire une source ayant assisté au congrès, «sans la moindre contestation. Moukharik était le seul candidat en lice». Farouk Chahir est le numéro 2 de la centrale. Son premier mandat est d'ores et déjà qualifié, par un membre du commission administrative de la centrale, de «phase transitoire». Une période nécessaire pour se débarrasser du reliquat du passé. La constitution d'une commission de contrôle des finances de l'UMT s'inscrit parfaitement dans cette perspective de rompre avec une gestion des affaires du syndicat qui a prévalu pendant des décennies. Le congrès, qui a pris fin ce dimanche, a accordé une place aux femmes dans la structure du secrétariat général : Amal El Omari et Khadija El Rhamiri en font partie. Une nouveauté dans l'histoire de l'UMT. De jeunes figures de l'action syndicale ont fait également leur entrée dans le très sélect secrétariat général, comme par exemple Noureddine Soulaik, du PPT. Des jeunes qui côtoient d'anciens cadres, longtemps très proches de Mahjoub Benseddik, à l'image de Brahim Karfa. En dépit des déclarations maintes fois répétées des têtes d'affiche de la centrale, toutes les sensibilités politiques (PPS, Annahj Addimocrati, PADS et PSU) qui agissent au sein de l'UMT sont représentées aux instances dirigeantes. D'ailleurs, les gens du Livre ont marqué de leur présence la séance d'ouverture du congrès : Moulay Ismaïl Alaoui et son successeur Nabil Benabdellah étaient de la partie. Abdellah El Harrif, le SG d'Annahj Addimocrati, était également présent au congrès. Ce parti d'extrême-gauche aux positions radicales sur le Sahara tient à son adhésion à l'UMT, qualifié de «makhzénien» par des cadres de cette petite formation. Faisant fi de ce qualificatif, Abdelhamid Amine, officiellement le n°2 de l'AMDH, siège au secrétariat général de l'UMT. L es dés sont jetés à l'UMT. Miloudi Moukharik en est officiellement le nouveau patron. Une élection qui s'est effectuée, à en croire une source ayant assisté au congrès, «sans la moindre contestation. Moukharik était le seul candidat en lice». Farouk Chahir est le numéro 2 de la centrale. Son premier mandat est d'ores et déjà qualifié, par un membre du commission administrative de la centrale, de «phase transitoire». Une période nécessaire pour se débarrasser du reliquat du passé. La constitution d'une commission de contrôle des finances de l'UMT s'inscrit parfaitement dans cette perspective de rompre avec une gestion des affaires du syndicat qui a prévalu pendant des décennies. Le congrès, qui a pris fin ce dimanche, a accordé une place aux femmes dans la structure du secrétariat général : Amal El Omari et Khadija El Rhamiri en font partie. Une nouveauté dans l'histoire de l'UMT. De jeunes figures de l'action syndicale ont fait également leur entrée dans le très sélect secrétariat général, comme par exemple Noureddine Soulaik, du PPT. Des jeunes qui côtoient d'anciens cadres, longtemps très proches de Mahjoub Benseddik, à l'image de Brahim Karfa. En dépit des déclarations maintes fois répétées des têtes d'affiche de la centrale, toutes les sensibilités politiques (PPS, Annahj Addimocrati, PADS et PSU) qui agissent au sein de l'UMT sont représentées aux instances dirigeantes. D'ailleurs, les gens du Livre ont marqué de leur présence la séance d'ouverture du congrès : Moulay Ismaïl Alaoui et son successeur Nabil Benabdellah étaient de la partie. Abdellah El Harrif, le SG d'Annahj Addimocrati, était également présent au congrès. Ce parti d'extrême-gauche aux positions radicales sur le Sahara tient à son adhésion à l'UMT, qualifié de «makhzénien» par des cadres de cette petite formation. Faisant fi de ce qualificatif, Abdelhamid Amine, officiellement le n°2 de l'AMDH, siège au secrétariat général de l'UMT.