Le Cercle des ECO. Les fondateurs de Chari, Ismael Belkhayat et Sophia Alj, étaient persuadés que le modèle de leur entreprise allait être un modèle «capital intensif», c'est-à-dire que pour atteindre une éventuelle rentabilité économique, il faut atteindre une certaine taille et par conséquent grandir et donc investir. «Au début d'une aventure entrepreneuriale, il est déconseillé de solliciter des venture capitalistes, il faut plus allez chercher du «love money», c'est-à-dire de l'argent qui provient de personnes de votre entourage. Ça... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.