La banque d'investissement Goldman Sachs, qui reste encore optimiste sur le scénario économique pour 2010, prévoit un prix moyen du baril de 90 dollars l'an prochain, et de 110 dollars en 2011. Selon une étude sur l'évolution future des matières premières que Goldman Sachs serait sur le point de publier, cette dernière croit en une nette fermeté des prix du pétrole l'an prochain. Cette tendance serait due à «la demande des pays émergents, dont la croissance devrait être soutenue au cours des deux prochaines années». La banque chiffre cette demande supplémentaire à hauteur de 1,7 million de barils par jour. Ces projections semblent déjà confirmées par la tendance haussière que connaît actuellement l'or noir. En effet, les prix de cette matière première ont progressé mardi à New York, après une séance volatile à la suite du sommet de l'OPEP à Luanda, la capitale angolaise, le même jour. Les pays exportateurs ont pourtant décidé de maintenir, comme l'on s'y attendait, leur quota de production au niveau actuel, soit à 24,84 millions de barils par jour (mbj), un niveau décidé il y a un an pour enrayer la chute du baril retombé à 32 dollars. Ainsi, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en février, nouveau contrat de référence, a terminé à 74,40 dollars, en hausse de 68 cents par rapport à lundi. À Londres, sur l'Intercontinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord, à échéance identique, a gagné 47 cents à 73,46 dollars. Pour Andy Lipow, de Lipow Oil Associates, avec la remontée des prix, les pays producteurs «produisent plus parce qu'ils ont besoin d'argent». Le métal jaune aussi... S'agissant de l'or, Goldman Sachs projette également des tendances très haussières. En effet, d'ici un an, la banque prévoit un prix de l'once à 1.350 dollars. Et pour 2011, Goldman Sachs envisage un prix moyen de l'once de 1.425 dollars. Explications: ce pic sera dû à «la politique de taux très bas mise en œuvre par la Réserve fédérale américaine, et au développement de l'or-papier sous forme d'Exchange-Traded Fund (ETF) (un type de placement collectif de valeurs immobilières), adossés à l'or physique», précise le Journal Des Finances sur son site web.par safall fall nLa banque d'investissement Goldman Sachs, qui reste encore optimiste sur le scénario économique pour 2010, prévoit un prix moyen du baril de 90 dollars l'an prochain, et de 110 dollars en 2011. Selon une étude sur l'évolution future des matières premières que Goldman Sachs serait sur le point de publier, cette dernière croit en une nette fermeté des prix du pétrole l'an prochain. Cette tendance serait due à «la demande des pays émergents, dont la croissance devrait être soutenue au cours des deux prochaines années». La banque chiffre cette demande supplémentaire à hauteur de 1,7 million de barils par jour. Ces projections semblent déjà confirmées par la tendance haussière que connaît actuellement l'or noir. En effet, les prix de cette matière première ont progressé mardi à New York, après une séance volatile à la suite du sommet de l'OPEP à Luanda, la capitale angolaise, le même jour. Les pays exportateurs ont pourtant décidé de maintenir, comme l'on s'y attendait, leur quota de production au niveau actuel, soit à 24,84 millions de barils par jour (mbj), un niveau décidé il y a un an pour enrayer la chute du baril retombé à 32 dollars. Ainsi, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en février, nouveau contrat de référence, a terminé à 74,40 dollars, en hausse de 68 cents par rapport à lundi. À Londres, sur l'Intercontinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord, à échéance identique, a gagné 47 cents à 73,46 dollars. Pour Andy Lipow, de Lipow Oil Associates, avec la remontée des prix, les pays producteurs «produisent plus parce qu'ils ont besoin d'argent». Le métal jaune aussi... S'agissant de l'or, Goldman Sachs projette également des tendances très haussières. En effet, d'ici un an, la banque prévoit un prix de l'once à 1.350 dollars. Et pour 2011, Goldman Sachs envisage un prix moyen de l'once de 1.425 dollars. Explications: ce pic sera dû à «la politique de taux très bas mise en œuvre par la Réserve fédérale américaine, et au développement de l'or-papier sous forme d'Exchange-Traded Fund (ETF) (un type de placement collectif de valeurs immobilières), adossés à l'or physique», précise le Journal Des Finances sur son site web.