Selon une version préliminaire de l'étude d'impact de la Commission de la CEDEAO portant sur l'adhésion du Maroc, il n'existe pas d'obstacle légal interdisant l'adhésion du royaume au traité révisé de la CEDEAO. L'adoption par consensus d'un Acte additionnel au traité d'Abuja devrait suffire sur le plan juridique. Décryptage. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper