Pour le roi, l'ultime année du mandat parlementaire ne doit pas laisser un legs législatif qui sera très lourd à porter. 11 lacunes législatives restent à combler, dont certaines nécessitant de larges concertations et un esprit de cohabitation entre les deux Chambres, en vue de boucler le plan législatif d'urgence établi par le souverain. La contestation de la légitimité des élections reste une vaine surenchère politique. Retrouvez l'intégralité de cet article dans notre édition disponible en kiosque ou en version e-Paper.