Le discours royal à l'occasion de la fête du Trône représente une rupture de ton avérée dans la mesure où le souverain fait sien le souci d'une réforme éducative qui peine à démarrer. Le fait qu'il s'appuie sur sa propre expérience dans l'école publique avec ses programmes et sa rigueur d'antan, remet au centre du débat la problématique de perte de qualité de cette même école. Dans cet entretien, Omar Azziman, qui a la lourde responsabilité de remettre le train de l'éducation sur les rails, dévoile les priorités et les moyens à mettre en œuvre. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper.