L'évaluation financière du tribunal est tombée tel un couperet sur les administrateurs d'Aswak Assalam. Truffé d'erreurs, ce rapport a été qualifié de non crédible, ce qui a nécessité une contre-expertise non admise par le tribunal. Aussi, le rapport a omis de mentionner que les locaux n'appartiennent pas à Aswak Assalam. L'affaire de la vente aux enchères d'Aswak Assalam fait couler beaucoup d'encre. En effet, l'évaluation effectuée par le Tribunal de commerce de Casablanca comprend des failles, selon Faouzi Chaâbi, administrateur d'Aswak Assalam, qui s'est retrouvé contraint de procéder à une contre-expertise. À sa grande surprise, cette dernière a été rejetée par le tribunal; or il est stipulé noir sur blanc, dans le droit marocain, que tout citoyen a le droit de présenter une contre-expertise. L'administrateur a ainsi déposé plainte contre l'expert comptable qui s'est chargé d'effectuer l'évaluation de la vente aux enchères, signalant que le rapport contenait des erreurs qualifiées de flagrantes. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition du mardi 12 mai, disponible en kiosques, ou en version e-Paper