En glissement annuel, les rythmes de progression du crédit bancaire et des créances nettes sur l'Administration centrale ont poursuivi leur ralentissement pour s'établir à 2,2% et 26,8% contre 7,6% 52,6% respectivement à fin juillet 2013. Le ralentissement du crédit bancaire s'attribue à la baisse de 0,8% des crédits de trésorerie, après une hausse de 14,4% enregistrée en juillet 2012, et à la décélération du rythme de progression des crédits immobiliers de 7,9% à 5,2%. Les crédits à l'équipement ont, quant à eux, progressé de 1,2% au lieu d'un repli de 2,9% une année plus tôt, recouvrant une quasi-stabilité de l'encours des crédits accordés aux sociétés non financières privées, contre une baisse de 10% en juillet 2012, et une décélération de 56,9% à 13,2% des prêts aux sociétés non financières publiques.