102 millions de quintaux, une récolte record (orge compris), en augmentation de 98,3 % par rapport à l'année précédente repartie entre blé tendre avec une récolte de 43,4 millions de quintaux, et blé dur 20,3 millions de quintaux. Certaines régions ont enregistré des taux de production céréalière record comme la région de Marrakech-Tansift-El Haouz avec près de 20 millions de quintaux, soit le double des volumes réalisés lors de la précédente campagne, suivie de la région de la Chaouia avec plus de 15 millions, puis de Doukkala-Abda avec plus de 14 millions. Selon le ministère de l'Agriculture, cette récolte principalement réalisée grâce à la générosité pluviométrique, coïncide avec une panoplie de mesures incitatives avec notamment le programme spécifique à la commercialisation du blé tendre sur la base d'un prix de référence de 270 DH le quintal, l'élargissement des superficies destinées à la multiplication des semences, par l'instauration de subventions atteignant 150 DH pour le blé tendre et 135 DH pour le blé dur et l'orge, ainsi qu'une prime de stockage de 5 DH/quintal/mois pendant 9 mois (avec un seuil maximum de 220 000 quintaux). Le taux de rendement céréalier s'est, quant à lui, établi en moyenne à 20 qx/ha avec des taux atteignant 29 q/ha dans certaines régions bour. Plusieurs régions ont enregistré des taux de production céréalière record comme la région de Marrakech-Tansift-El Haoz avec près de 20 millions quintaux, soit le double des volumes réalisés lors de la précédente campagne, suivie de la région de la Chaouia avec plus de 15 millions quintaux, puis de Doukkala-Abda avec plus de 14 millions de quintaux. Le Maroc, dont la production est fortement volatile du fait des précipitations pluviométriques et de leurs caprices, «veut stabiliser la production moyenne annuelle et réduire les importations de 15 à 25 % d'ici à 2020».