L'atmosphère sociale en ce mois de Ramadan est devenue vraiment insupportable en société avec ces bousculades monstres dans les souikas et points de vente et ces artères bondées de véhicules conduits par des énergumènes mal lunés quand leur estomac est vide, qui sèment la pagaille généralisée en klaxonnant à mort. A telle enseigne que les seuls décibels de nuisance dans la vie urbaine en cette période se résument à une «klaxonnite» d'enfer qui pompe l'air des braves gens en quête de tranquillité spirituelle et de sérénité d'âme. Et la bérézina se généralise par contagion collective des «chauffards» au fur et à mesure que l'heure du ftour approche pour céder la place à des « enragés » au prétexte du mois de carême, appuyant sur le champignon et menaçant d'écraser les piétons qui traversent en castastrophe.