Il posa sur elle son regard félin Elle poussa un long soupir Il lui prit la main Elle se senti frémir Il l'effleura un rien Elle vibra de plaisir Il lui toucha un sein Elle senti la peur la saisir Il l'embrassa sauvagement, sans intérêt aucun Elle sentit le dégoût l'envahir Il la plaque contre le mur, et la retint Elle le repoussa, il lui fallait partir Il la lâcha, ferma à clé et revint La toisa, la déshabilla, ne retint son sourire Elle s'agitât, se débattit tant mal que bien Mais il était plus fort, elle n'arriva à le retenir Il la poussa sur le lit, écarta ses jambes, la pénétra avec dédain Elle en souffrit longtemps le martyre Elle se battît de toute sa force, mais en vain Puis, fatigué et rassasié , le monstre dû s'assoupir Il la laissa là, à pleurer son sort et son destin Décidément de ses jours c'était le pire Elle se releva, retint un cri de douleur, et alla dans la salle de bain Puis saisi un couteau qui traînait et décida d'en finir Elle le tint à deux mains ne pensa pas une seconde à ce qui d'elle allait advenir... Eprise de courage, elle lui enfonça l'arme froide tout près des reins Sous le coup, elle senti son corps se raidir Il poussa un cri, tiré de son sommeil, et su que c'était sa fin Elle regarda son sang couler, et sa peau pâlir Elle le regarda froidement, et il lui demanda avant de périr : « Pourquoi ?! » elle répondit, la voix haineuse, et le visage de sa colère était peint : « Je t'ai aimé, tu m'a trahi, je t'ai fait mourir... »