Les plus fervents supporters parisiens ont clairement pris parti contre Neymar, lequel souhaite quitter le club de la capitale deux ans après son arrivée, ce dimanche au Parc des Princes lors du match contre Nîmes. Neymar et le Paris Saint-Germain ? Il faudrait que ça se termine vite... Leonardo évoquait des «discussions» en vue d'un départ de l'intéressé, candidat au départ, samedi, veille du premier match de la saison ce dimanche soir contre Nîmes (en direct commenté). Real Madrid ou FC Barcelone ? C'est tout l'enjeu de cette fin de mercato. Ces derniers jours, c'est le club castillan qui semblait avoir la main. Ce dimanche, le Barça pourrait avoir repris les commandes. Toujours est-il que les Ultras parisiens, eux, ont pris position. Nettement. Ils l'ont hurlé ce dimanche, au Parc des Princes, dans les premières minutes de ce PSG-Nîmes de reprise en Ligue 1 : «Neymar, hijo de puta !» (fils de pu...). ? Neymar, hijo de p*** ? La position du CUP est claire… pic.twitter.com/zEH2gOHcNO — Footeuse (@Foooteuse) August 11, 2019 Histoire d'être bien sûrs de faire passer leur message, ils ont ensuite déployé plusieurs banderoles. La première, brève, claire, limpide : «Neymar casse toi». La deuxième, plus longue et fleurie, faisant référence aux récents déboires du Brésilien avec une jeune femme qui l'a accusé de viol (les poursuites viennent d'être classées sans suite) et à la remontada de 2017, dont Neymar ne manque jamais une occasion de rappeler qu'il s'agit du meilleur moment de sa carrière. «Neymar, se faire taper par une pute n'arrive pas qu'en remontada tu t'en souviens ?», a-t-on pu lire. « Neymar, se faire taper par une pute n'arrive pas qu'en remontada tu t'en souviens ? », « Neymar casse toi » : si vous aviez des doutes au sujet de la position des Ultras sur Neymar… @Co_Ultras_Paris #PSGNO pic.twitter.com/ZPXr7P6bnO — Christophe Remise (@CRemise77) August 11, 2019 En résumé, Leonardo a tout intérêt à trouver une issue à ce dossier d'ici à la fin du mercato le 2 septembre prochain. Sans quoi, la température risque de monter d'un cran et le climat pourrait vite devenir irrespirable au Parc des Princes, entre des supporters déçus, en colère, et un joueur qui resterait contre son gré... Tic tac, le compte à rebours est enclenché. Il reste trois semaines...